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 VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec

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Victoria A. Silva-Vargas
Victoria A. Silva-Vargas


∞ Arrivé(e) à Toronto : 10/08/2023
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MessageSujet: VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec   VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec EmptyJeu 10 Aoû 2023 - 10:29


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VICTORIA ALBA SILVA-VARGAS

« La chose la plus courageuse que j'ai faite, c'est de continuer à vire alors que je voulais mourir »

NOM: Silva-Vargas. On dit souvent que chez les Mexicains, l'enfant prend les deux noms. Outre le fait que ce soit vrai chez moi, c'est surtout parce que je suis le fruit d'une famille recomposée que je porte le nom de père et celui de ma mère. ▬ PRENOM(S): Victoria. Un prénom que mes parents voulaient avec une consonance hispanique. Seule les personnes plus proches de moi m' appellent pas ce dernier. Alba parce qu'il fallait bien me donner un second prénom. C'est d'ailleurs, ce deuxième que je donne lorsque je ne sais pas à qui j'ai affaire. ▬ SURNOM(S): Vicky pour les personnes qui me connaissent sous le prénom de Victoria. Sinon, je n'en ai pas et je ne m'en formalise pas. ▬ AGE: 21 bougies. Je devrais kiffer ma vie et profiter de ma jeunesse, mais jai dû grandir bien plus vite que mon âge. ▬ DATE DE NAISSANCE: Un certain 15 juillet. J'ai pointé le bout de mon nez en plein mois d'été avec quelques jours d'avance. ▬ LIEU DE NAISSANCE: Toronto, je suis la seule de la famille à être née au Canada. Je ne sais pas si on peut dire que c'est une fierté. ▬ NATIONALITE: Mexicaine et canadienne. J'ai la chance d'avoir la double nationalité, même si ce n'est pas quelque chose que je mets forcément en avant. ▬ CLASSE SOCIALE: Pauvre. Les fins de mois ont toujours été difficiles. Et outre l'amour quasiment absent, je n'ai pas eu le droit à avoir une belle vie. J'ai l'impression que cela continue aujourd'hui. ▬ ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle, je n'ai toujours aimé que les hommes. Et même si j'étais bi ou lesbienne, je ne serais pas en mesure de l'assumer. Mes parents le prendraient particulièrement mal. ▬ STATUT MATRIMONIAL: Célibataire. Certainement trop paumée pour que quelqu'un puisse s'intéresser à moi. Et je ne sais pas réellement si je souhaite me mettre en couple. ▬ METIER/ETUDES: Sans emplois, bien que j'ai côtoyé des métiers dégradants comme être strip-teaseuse en échange d'un salaire et d'un logement. Quand on est désespérée, on fait ce qu'on peut. ▬ GROUPE: Angry Birds ▬ AVATAR: Hailee Steinfeld
▬ Qualités: Fragile, douce, empathique, persévérante, hypersensible, tolérante, autonome et indépendante.

▬ Défauts: méfiante, cachotière, ne parle pas d'elle ni de son passé, n'a pas confiance en elle, impatiente, imprudente, un tantinet menteuse quand il le faut et instable.

▬ J'aime, je n'aime pas: (+) Manger et surtout la poutine, les animaux, les séries TV, le dessin, le shopping, prendre soin de moi quand j'en ai l'occasion.

(-) Les gens de manière générale, la violence, le fait qu'on me dise quoi faire, être vue comme une chose fragile, ma vie au global, les informations à la télévision, les films trop longs et les personnes qui se prennent pour ce qu'elles ne sont pas.

▬ Tics et manies: 1. J'ai une carapace qui empêche de nombreuses personnes d'entrer dans mon monde. C'est une façon de me protéger pour ne pas me prendre des coups dans la vie de tous les jours. 2. Je ne suis pas du genre à me confier à qui que ce soit. En effet, j'ai pas envie que ce soit quelque chose qui puisse être utilisée contre moi. 3. Issue d'un milieu difficile, j'ai appris à être méfiante dès mon plus jeune âge. Je trouve cela bizarre lorsqu'une personne s'intéresse à moi et n'hésite pas à croire que c'est par intérêt ou par hypocrisie. 4. Je ne fais confiance qu'à très peu de personnes. Et je ne supporte pas la trahison. Aucune excuse ne peut m'être donnée puisque je ne les écouterais pas. Je peux donc faire une croix définitive sur quelqu'un en quelques minutes, même si c'est compliqué. 5. En tant qu'hypersensible, je pleure souvent. Mais pas forcément de tristesse, cela peut aussi être de joie, par exemple. J'ai d'ailleurs des réactions exagérées de temps à autre.



PRENOM/PSEUDO: . QUEEN A / Amandine ▬ AGE: 30 ans Rolling Eyes ▬ SEXE: Fille toujours Very Happy ▬ REGION/PAYS: Savoie, France ▬ J'AI CONNU LE FORUM GRÂCE A: voir fiche de Rosalie, je sais plus VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec 865533876 ▬ MON AVIS: Contente de revenir VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec 637795841 ▬ QUELQUE CHOSE A AJOUTER: [i] VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec 3609052089 VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec 3609052089 VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec 3609052089 /i]

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[b]HAILEE STEINFELD[/b] x Victoria A. Silva-Vargas
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MessageSujet: Re: VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec   VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec EmptyJeu 10 Aoû 2023 - 10:29


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« La mort n'est pas la fin, mais le début d'une nouvelle vie »


15 juillet. Je pointe le bout de mon nez dans une famille détruite ou presque. Ma mère a déjà deux enfants de son côté tandis que mon père en a quatre. Ils se sont rencontrés dans un bar à Toronto, se sont plus et ont voulu commencer un bout de chemin ensemble. Six mois après leur rencontre, ma mère tombe enceinte. Ne pouvant pas avorter, elle décide tout simplement de me garder, sans vraiment demander l’avis de mon père. Mais ils se sont toujours jurés de s’occuper de moi. De belles promesses dont je n’ai jamais vraiment vu la couleur. Lorsque je suis née, je suis tombée dans un monde pauvre. Mes parents n’avaient clairement pas les moyens d’avoir un enfant de plus. Et pour cause, ils devaient déjà entretenir les deux enfants de ma mère et deux enfants, sur les quatre, de mon père. Ma mère ne travaillait, ne parlant pas forcément bien l’anglais, tandis que mon père préférait boire. À force d’arriver en retard ou d’être violent avec ses collègues, il finira par être viré.

Dès mon plus jeune âge, j’ai du mal à trouver ma place dans cette famille dysfonctionnelle. Mes demis-frères et sœurs ne m’acceptent pas forcément. Sans parler du fait que je suis la seule à être née à Toronto. Pour ces derniers, je suis avant tout canadienne et non mexicaine et ça ne leur plait pas. Outre cette ambiance pesante, j’ai cinq ans lorsque ma mère décide de partir. Elle prend le large et retourne au Mexique. Elle ne me donnera plus de nouvelle, tout comme ses enfants qui ne chercheront jamais à prendre contact avec moi. Je vis alors dans un univers entièrement masculin, avec un père qui devient de plus en plus violent. Je ne comprenais pas vraiment son comportement. J’étais trop jeune pour comprendre quoi que ce soit, de toute façon.

À l’école, je suis souvent en retrait. J’ai quelques copines, mais je n’ai pas la même vie qu’elles. Et pour cause, lorsque je rentre chez moi, ce n’est pas une ambiance familiale que je vais retrouver. Je ne leur parle pas de la violence de mon père puisque, pour moi, c’est normal que ce dernier se comporte ainsi. Je n’ai jamais connu autre chose que les coups et les insultes qu’il pouvait parfois sortir à mon intention. Je cache pourtant les bleus que j’ai et n’en parle à personne. Au niveau des cours, je ne suis pas une mauvaise élève. J’aime bien apprendre de nouvelles choses et c’est un endroit où je me sens bien. Je sais que mon père ne viendra pas me chercher et que je ne risque rien pendant 7 heures chaque jour. C’est une safe place. J’essaie, tout de même, d’avoir de bonnes notes, en espérant que mon père, soit un jour, fier de moi. Mais ce n’est pas comme cela que ça fonctionne. Je pourrais lui ramener n’importe quelle note à la maison, qu’il n’en aurait rien à faire.

J’ai douze ans lorsque les services sociaux viennent chez moi. Ils me placent en foyer. Mon père ne fait rien pour les retenir. La vie en famille d’accueil n’est pas forcément vraiment meilleure. Je me retrouve avec des personnes que je ne connais pas. Des personnes avec qui je n’entends pas forcément. Il est compliqué de se faire une place dans une nouvelle famille. Vu comme la petite fille fragile, je suis bien souvent la victime des plus grands. J’essaie de m’endurcir, mais ce n’est pas forcément quelque chose de simple. Je ne savais si j’allais, un jour, revoir mon père. Mais je ne savais pas non plus si j’avais vraiment envie de revoir ce dernier. Je continue d’aller à l’école contrairement à d’autres enfants du foyer. J’essaie de m’en sortir. Même si je sais que je n’ai pas tous les bagages nécessaires pour atteindre mes objectifs.

Je vis une adolescence plutôt difficile. Ces moments où j’aurais eu besoin d’un père et d’une mère n’existent pas. Je n’ai personne pour répondre à mes questions sur la puberté ou sur la façon dont change mon corps. Mes copines comprennent qu’il y a quelque chose qui ne va pas. D’ailleurs, je ne les invite jamais chez moi. Et je n’ai pas envie qu’elle découvre cette facette de mois. Je ne leur dis rien, mais elles acceptent de répondre à mes questions. Le collège et le lycée ne sont pas des périodes faciles puisque je cache tout un pan de ma vie. Les relations avec les garçons ne sont pas forcément simples non plus puisque j’ai peur que ces derniers deviennent comme mon père. En classe, j’arrive toujours à avoir de bonnes notes et j’avais vraiment l’espoir d’aller à l’université. Néanmoins, il faut trouver un travail, un logement et pouvoir suivre des études, ce qui n’est pas simple/

À dix-huit ans, le foyer me met dehors. Mon père n’est pas là pour me récupérer. Je me retrouve sans domicile. Mes copines sont paris au quatre coins du Canada pour leurs études et ne sont plus en mesure de m’aider. Je me retrouve seule comme je ne l’ai jamais été. Et c’est là que les mauvaises rencontres commencent. Je tombe sur un homme qui a la quarantaine, il me promet monts et merveilles : je peux gagner de l’argent et avoir un toit, si j’accepte de travailler dans son club de strip-tease. Ma mission : juste dansé et me déshabiller des hommes. Il m’informe que c’est bien payé et que je serais logé gratuitement. J’accepte. C’est mieux que de se retrouver seule après tout. Étant l’une des plus jeunes, ça attire du monde et pas forcément les hommes les moins bizarres de la ville.

Quelques mois plus tard, mon “patron, si je peux l’appeler ainsi, m’indique que mes missions évoluent. Finalement, je vais devoir faire des shows privés et les clients ont le droit de faire ce qu’ils veulent. J’accepte avec une certaine réticence quand même. Mais c’est mieux payer et je suis toujours logée. Si j’avais, un jour, imaginé que ma vie tournerait comme ça, j’aurais certainement coupé court. Cela va durer deux ans jusqu’à ce que j’en ai marre. Il y a six mois, je lui fais part de mon désir de partir. Il me laisse sans me poser de questions, ce qui m’étonne quelque peu. Je vis six mois dans la rue et j’essaie de m’en sortir comme je le peux, sans forcément chercher de problèmes à qui que ce soit. Je traine avec des groupes plus ou moins fréquentables, tombent plus ou moins dans la drogue pour oublier mes problèmes et le tournant qu’a pris ma vie. Mais un soir, au détour d’une rue, je me fais poignarder au niveau du ventre. Mon ancien patron pensait que je finirais par revenir plus vite que ça et il avait missionné l’un de ses hommes de me tuer puisque je ne lui servais plus à rien. Mais sa mission à échouer, musique Connor m’a secouru. Il a été là pour moi sans que je comprenne vraiment pourquoi. Il décide aussi de m’accueillir chez lui à ma sortie de l’hôpital, ce qui me gêne grandement. Et nous n’allons pas nous le cacher, je ne suis pas sûre de rester longtemps parce qu’il ne me connaît pas. Je ne le connais pas. Et je ne veux pas qu’il pose de questions.


Dernière édition par Victoria A. Silva-Vargas le Jeu 10 Aoû 2023 - 11:00, édité 1 fois
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Connor Scott
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MessageSujet: Re: VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec   VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec EmptyJeu 10 Aoû 2023 - 10:50

J'aime beaucoup le début de ta fiche, hâte de lire son histoire ! VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec 1266144161
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MessageSujet: Re: VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec   VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec EmptyJeu 10 Aoû 2023 - 11:00

Je suis contente sur le début te plaît VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec 2165103031
J'ai fini ma fiche I love you
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MessageSujet: Re: VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec   VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec EmptyJeu 10 Aoû 2023 - 11:39

Pour moi c'est tout bon, je valide ! Bon jeu avec la belle Vicky VICTORIA | la douleur ne disparaît jamais, on apprend juste à vivre avec 1266144161
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