InvitéInvité | Sujet: souper de famille [Billie] Lun 14 Mar 2016 - 15:43 | |
| Marion insistait pour qu’on aille durant les vacances de pâques voir sa famille. Elle tenait absolument à me présenter. Cela faisait maintenant un an que nous étions ensemble et je n’avais vu que sa famille immédiate pour le moment aux fêtes de noel dernier. De mon côté, Marion venait souvent chez mes parents et dans ma famille. Je vivais encore là-bas au contraire d’elle qui vivait en appartement. Ma famille se réunissait également souvent. Marion et moi étions dans le même cursus, soit dans une formation complémentaire à notre boulot de police. Nous étions en sécurité et politique internationale à l’université.
À ce souper, il y avait la famille immédiate de Marion, mais également toutes ses oncles et ses tantes ainsi que ses cousins et cousines. Ces parents avaient une grande maison et avait décidé de réunir tout le monde pour l’occasion. Il s’agissait d’une célébration importante pour eux. Nous arrivions à l’instant de chez mes parents où nous avions bruncher et pris le thé. Nous étions dimanche et les dimanches, nous les prenions souvent congé d’études, boulot et travaux. Nous étions avec ma voiture, nous étions un peu en retard, dû au trafic. Marion avait prévenu sa famille que nous risquerions d’arriver quelques minutes en retard déjà. Tout le monde certes, semblait être arrivé. Ce pourquoi, j’étais un peu nerveux. Nous étions tout de même habillé chic, moi d’une chemise bleu ciel et d’un pantalon de toile charbon. Quant à Marion, elle ne portait ni maquillage ni coiffure, mais portait une magnifique robe blanche en côton et en dentelle délicate. Rien d’abusif, mais elle était si belle à mes yeux.
Nous nous étions alors dirigés vers la maison lorsque les parents de Marion vinrent nous ouvrir avant même que nous sonnâmes.
Les voilà enfin ! S’écrièrent-ils. Quand à moi, je leurs souriait de bon cœur.
Désolée du retard maman. Dit Marion enthousiasme d’être enfin arrivée. J’ai si faim dit-elle. Comme elle avait du caractère et du mordant, j’admirais cela chez elle. Elle s’élança par la suite vers tous ses cousins, cousines, tantes et oncles afin de les embrasser.
J’étais là, timide, sans le laisser paraître, à refermer la porte et à commencer par saluer les parents de ma copine.
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