NOM: lewis. ▬ PRENOM(S): dana juliet. ▬ SURNOM(S): aucun. ▬ AGE: vingt-trois ans. ▬ DATE DE NAISSANCE: huit décembre. ▬ LIEU DE NAISSANCE: toronto. ▬ NATIONALITE: canadienne. ▬ CLASSE SOCIALE: moyenne. ▬ ORIENTATION SEXUELLE: hétéroseuxelle. ▬ STATUT MATRIMONIAL: célibataire. ▬ METIER/ETUDES: pompier volontaire. ▬ GROUPE: prts rescue saga ▬ AVATAR: katherine mcnamara.

▬ Qualités: souriante, dévouée, altruiste, sportive, autonome. ▬ Défauts: casse-cou, impatiente, rancunière, beaucoup trop franche, têtue. ▬ J'aime, je n'aime pas: mon fils (+), les clowns (-), le sport (+), la technologie (-), les chats (+), les arachides (-), le vert (+), les gens sans personnalités (-), le sucré (+), les insectes (-). ▬ Tics et manies: mon sport et ma douche matinale, la main que je passe une centaine de fois par jour dans mes cheveux, la musique que j'écoute absolument partout et le bisou du soir à mon fils sans lequel je ne dors pas.

PRENOM/PSEUDO: ash ▬ AGE: vingt trois ▬ SEXE: féminin ▬ REGION/PAYS: france ▬ J'AI CONNU LE FORUM GRÂCE A: PRD ▬ MON AVIS: il est cool ▬ QUELQUE CHOSE A AJOUTER:      

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[b]KATHERINE MCNAMARA[/b] x Dana J. Lewis

« Allez mon chéri il faut manger un peu maintenant, sinon tu vas avoir faim tout à l’heure. » », Disait-elle de sa voix douce et rassurante en tentant tous les stratagèmes de parents pour faire manger le petit garçon. Elle c’est ma mère, une femme simple mais si aimante et le beau petit bout de chou qu’elle tente désespérément de faire manger, c’est mon fils. Oui, oui, mon fils patience, j’y arrive. J’embrassais ma mère, puis mon fils avant de quitter, comme j’en avais si souvent l’habitude, le foyer de mes parents. Parce que oui, pas de drame familiale de mon côté même si mon paternel n’était pas là aujourd’hui il en restait pas moins vivant. Il devait juste sans doute trainer chez un copain dans dieu sait quel boutique qui vends de vieux disques vinyles. Je vais profiter du trajet qui me mène à la caserne pour éclaircir un peu vos lanternes en ce qui concerne ma vie…
Tout d’abord il faut savoir que je suis fille unique : ni frère ni sœur pour moi. En revanche, je n’ai pas grandi seule. Membre d’une famille soudé, j’ai eu la chance de partager mon enfance avec mon cousin qui est, au final, tout comme un frère pour moi. Il est à peine plus âgé et nous avons fait ensemble toutes sortes de bêtises qu’on fait quand on est gosse. J’ai donc, malgré le fait que je sois la seule fille de mes parents, connu ces montées d’adrénaline quand on essaie de s’attraper autour de la table ou encore le morse qu’on s’invente en tapant au mur pour communiquer d’une chambre à l’autre. D’ailleurs, mon cousin et moi avons fréquenté les mêmes écoles ce qui m’a parfois porté préjudice dans je passais après le jeune un peu turbulent. Mais dans le fond j’aimais bien qu’il soit comme ça, il avait toujours de drôles d’histoires à me raconter c’était chouette. Enfin, en somme j’ai eu une enfance comme les autres, pas de drame, pas de pleure ni de coups à mon grand bonheur d’ailleurs je ne sais que trop bien que tout le monde n’a pas cette chance. Comment je le sais ? Je suis pompier, pompier volontaire j’en suis d’ailleurs très fière. Mais dans ce genre de job on voit un tas de choses et croyez-le où nous mais souvent on est bien content d’être dans ses propres baskets et pas dans celle des autres. Bref, reprenons mon histoire où nous l’avons laissé. J’ai fait mon petit bonhomme de chemin, j’ai réussi à l’école avec plus ou moins de brio même si j’ai eu droit à mon lot de punition idiote à recopier des lignes et des lignes bêtement juste pour nous donner mal au poignet. Puis, je suis arrivée dans l’âge de l’adolescence, un âge qui complique tout. C’est là que j’ai connu tout un tas de nouvelle chose, les premiers papillons dans le ventre, le premier bisou, la première cigarette aussi, ben quoi ? J’ai pas dit que j’avais fait que des premières fois positives. D’ailleurs, c’est aussi à cette période que j’ai rencontré le père de mon fils. On était encore de gosse à l’époque, on avait dix-sept ans à peine et à ce moment-là je croyais en une vraie amitié, vous savez cette amitié qu’on croit invincible, celle qu’on pense que jamais, ô grand jamais elle ne cessera ? Ouais, ben tout ça c’est du baratin. On a vécu toute notre adolescence ensemble avec notre bande de copain. Puis à vingt et un ans on à commencer à rendre les choses plus sérieuses entre nous passant de bons copains à petits amis. Puis on a pris du bon temps et j’étais toujours autant persuadé que lui et moi ça serait éternel. Puis notre fils est né, j’avais vingt-deux ans à l’époque et même si on en était pas sûr on voulait tous les deux le garder. Tout du moins c’est ce que je pensais. Sauf qu’un jour, quand je suis rentré dans notre appartement avec mon fils, parce que oui, quand le petit est né on avait décidé de se mettre en ménage, ses affaires n’étaient plus là, nos économies aussi maigrelettes soit elles avaient en partie disparues et il n’y avait rien pas un mot, pas un message rien. Inutile de vous dire à quel point je me suis sentie seule, abandonnée et attristée. Je l’ai attendue, quelques jours, quelques semaines. Sa famille, ne m’accordait aucun contact si bien que j’ai réussi à les haïr en peu de temps. Comment pouvait-on laisser tomber sa famille de la sorte ? Comment pouvait-on renier sa famille comme ça ? Tant de questions auxquelles je ne trouverais sans doute jamais de réponse. C’est ainsi que j’ai décidé de laisser tomber mes études de sport pour me consacrer entièrement au métier de pompier, que je pratiquais déjà plus jeune en parallèle de mes études. Mais ce fut comme un déclic pour moi, je ne voulais pas abandonner les autres comme on avait pu m’abandonner moi-même alors j’allais leur consacrer du temps et même mettre ma vie en danger pour eux. Et bien croyez-le ou non mais ça me faisait le plus grand des biens, c’était comme une sensation de liberté pour moi, comme si je comptais comme si je pouvais faire quelque chose de bien. Voilà, c’est comme ça que j’en suis arrivé là, une maman célibataire épaulée par ses parents et qui, chaque jour donne de son temps pour aider les autres. Et vous savez quoi ? Je n’échangerais ma vie pour rien au monde …

Bravo tu as franchis l'étape de la fiche Tu es donc officiellement un membre de Niagara Evening. Si c'est pas super ça Il reste cependant encore quelques petites choses importantes à faire avant de pouvoir profiter pleinement du forum.

Tout d'abord, il faut que tu ailles recenser quelque chose, à savoir ton métier par ici.
Ensuite, tu dois aller faire une demande de logement parce que ton personnage a droit à un toit au-dessus de sa tête: c'est par là.
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Tu devras ensuite aller faire tes fiches de liens et de sujets dans cette partie.
Il existe aussi une partie pour les réseaux sociaux qui est intégrée au forum et tu peux la trouver par là. Enfin, tu peux aller t'amuser dans le flood et les jeux ainsi qu'rp sur le reste du forum.
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