NOM: Jordan ▬ PRENOM(S): Kyle Evan ▬ SURNOM(S): beau gosse ? ▬ AGE: 20 ans ▬ DATE DE NAISSANCE: 04/07/94 ▬ LIEU DE NAISSANCE: Toronto, CA ▬ NATIONALITE: Canadienne ▬ CLASSE SOCIALE: normal ▬ ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuel à tendance bi ▬ STATUT MATRIMONIAL: Célibataire ▬ METIER/ETUDES: Etudiant en musique à Niagara ▬ GROUPE: Pet rescue Saga ▬ AVATAR: Harry Sexy Styles

▬ Qualités: J'suis un vrai comique, j'adore faire des blagues, des farces débiles. C'est limite moi qui ai inventé les coussins péteurs et le coup de la punaise sur la chaise du prof, j'suis sympa, j'aime pas quand des gens se sentent isoler alors je vais vers eux, je suis très sociable, curieux, déterminé, romantique, sincère, spontané, entier. ▬ Défauts: J'suis paresseux, parfois chiant, jaloux, possessif non rectification très possessif, j'suis bordélique mais j'aime bien quand c'est rangé ce qui est assez contradictoire,j'suis très curieux, râleur, borné, individualiste quand les gens m’agacent trop. ▬ J'aime, je n'aime pas: j'adore la musique, faire la fête, fumer parfois, boire du chocolat chaud, traîner dans mon lit, marcher des heures dehors quand il fait bon, ma famille et mes amis, l'odeur de l'herbe coupée, les douches très chaudes, conduire et je déteste par dessus tout les emmerdeurs, les gens qui sont mieux que toi mais qui se rabaissent eux-mêmes pour que tu te sentes encore plus mal, ceux qui mentent sans arrêt, quand il y a le silence total parce que ça fou la trouille, la sonnerie réveil de mon téléphone parce que ça me rappelle que je dois quitter mon lit.J'aime pas les filles qui bouffent que des salades ça me fait un peu de peine et ça me donne envie de bouffer un mcdo, j'aime pas les gens qui abusent de leurs autorités. ▬ Tics et manies: La vache j'arrête pas de toucher mes cheveux mais je fais pas exprès, j'adore fixer les gens pour les déstabiliser. J'ai tellement peu souvent confiance en moi au fond que ça en devient presque une manie invisible aux yeux des autres.

PRENOM/PSEUDO: doa* ▬ AGE: 20 ▬ SEXE: F ▬ REGION/PAYS: BE ▬ J'AI CONNU LE FORUM GRÂCE A: ▬ MON AVIS: ▬ QUELQUE CHOSE A AJOUTER: Je t'aime Analiya   

Ma mère est canadienne, mon père américain et tous les deux m’ont eu très jeune. Quand on y pense ce n’est pas étonnant, ils se sont rencontrés à Las Vegas vous  comprenez, un peu trop d’alcool, le volume monte, il fait chaud, on finit vite dans la chambre d’Hôtel. Ma mère m’a assuré qu’entre eux il y avait directement eu une étincelle, c’est ce qu’on appelle le coup de foudre. Pourtant petit problème à l’horizon, je venais d’être conçu… Je pense que ma mère aurait pu avorter après tout qui lui en aurait voulu d’y avoir songé, elle n’était même pas sur de revoir cet homme avec qui elle avait passé la nuit et pourtant aller savoir comment ça s’est passé ils ont fini par assumer tous les deux et ont décidés de se marier et de m’élever. En même temps, dans une famille catholique croyante et pratiquante le contraire aurait été étonnant. Je n’ai eu droit qu’à la vraie version de l'histoire, il y a 2 ans. Avant, je croyais que mes parents s’étaient rencontrés à l’église et sont tombés amoureux sous le regard de dieu. J’aurai du trouver ça bizarre parce que c’était le plus gros mensonge du siècle et ça continue à l’être pour le reste de ma famille.

Mes parents ont toujours été très présents pour moi, peut-être même trop présent ! Comme le jour de la rentrée des classes où ils ont tenu à m’accompagner jusqu’à la grille et où tous mes camarades se sont moqués de moi ou le jour où j’ai voulu inviter une fille au cinéma et où mon père nous a chaperonné. Quel calvaire, mais quand j’y pense, je n’ai jamais su leur en vouloir alors au début de l’adolescence c’était assez difficile de trouver des prétextes pour m’engueuler avec eux, ils étaient parfait. Puis les choses ont un peu évolué, comme dans toutes les familles, il y a eu des bas, un en particulier : Peu de temps après la naissance de ma petite sœur, mon père a trompé ma mère. J’étais sous le choc mais ma mère ne sembla pas plus surprise que ça, bien sûr elle lui avait fait une crise, avait juré vouloir le quitter mais en même temps elle répétait qu’elle en était certaine et qu’il fallait que ça arrive. Mon père a quitté la maison pendant plusieurs mois, je lui rendais visite le plus souvent possible même si je lui en voulais d’avoir été infidèle et d'avoir brisé notre famille. Un soir alors qu'il avait un peu trop bu, il changea le reste de mon adolescence sans s'en rendre compte "La vie est une succession d'échec. "Je me suis demandé ce que ça voulait dire et puis il a parlé, longtemps croyant que j'étais quelqu'un d'autre, il regrettait tout ce qu'il avait entrepris dans sa vie, il était déçu de lui et de ce qu'il avait accompli, il détestait sa vie de père de famille, il était prisonnier avec notre famille, il regrettait le soir où j'avais été conçu. Ce soir là c'était évident, mon père m'en voulait et jamais je n'avais été un peu désiré. Étrangement ce que n'était pas ce qui m’atteignis le plus car  en voyant son visage si dépité, en lisant la tristesse dans ses yeux j'ai développé une sorte de crainte, une phobie de ressentir un jour la même chose que lui, je ne voulais pas avoir l'impression de rater ma vie et en me mettant la pression surtout pour mon avenir, en voulant le rendre fier de moi aussi sans doute, je me suis rendu malade. Au fil du temps, je ne sais pas trop par quel miracle, il a fini par se réinstaller à la maison et notre vie a repris un cours plus ou moins normal même si ce n’est plus tout à fait comme avant.

Quand je suis arrivé à la fin du lycée, une question existentielle s’offrait à moi : Que voulais-je faire pour le restant de ma vie ? Moi qui avait travaillé durement, qui avait peur de l'échec j'aurai du choisir une profession sûr comme médecin ou avocat mais après mainte et mainte réflexion, j’ai décidé d’écouter la petite voix qui me disait d’aller au bout de mes rêves, j'avais l'impression que si je la suivais je n'avais aucun risque de regretter. Depuis tout petit, j’étais passionné par la musique, les instruments, le chant, les rythmes, tout…J’avais pris des cours, monté un groupe avec des potes, je me suis amusé à écrire, à composer et puis j’ai voulu aller plus loin. Niagara est la plus grande université d’art de tout Toronto, tout le monde en parle, tout le monde rêve d’y entrer. Avant cette école était accessible à tous si on payait une petite fortune à l’inscription mais ça en valait la peine, les profs étaient des gens cool, de grandes stars parfois, les cours étaient libres, les fêtes incroyables mais pile l’année où j’ai décidé de m’inscrire le directeur à changer et tout est devenu très stricte, on se croirait à l’armée, on a même des uniformes, mais une chose est sur les élèves de Niagara n’ont pas pour autant arrêter de faire des conneries et de danser et boire toute la nuit et ça monsieur le directeur, vous ne pourrez rien y faire.

D’ailleurs au passage, on peut dire que le directeur est moi on est devenu assez proche ces temps-ci. Ce que je veux dire c’est que je suis souvent convoqué dans son bureau et tout ça par la faute de l’emmerdeur de service, j’ai nommé X . Disons que lui et moi on a quelques difficultés à s’entendre et comme nous ne sommes pas des gens civilisés et qu’on ne communique pas vraiment on se fait comprendre tout ça en faisant des petites blagues qui finissent en grand bordel, parfois on se bat, parfois on salit la cafeteria, parfois même nos propres blagues se retournent contre nous et on se retrouve en colle tous les deux, comme des idiots à tout nettoyer ou à copier cent fois «  je ne retapisserai plus les murs de la cafétéria avec de la purée de petit pois » Le pire, c’est que je crois que je m’amuse bien avec lui et que je ne veux pas changer ça.