J'étais assise depuis plus de deux heures, à ne pas savoir ce qu'il se passait, je revoyais encore son visage, sa main dans la mienne il y a même pas trois heures de cela, son sourire et son regard qui me faisait clairement comprendre à quel point il tenait à moi, on avait enfin réussi à casser cette barrière qui s'était installée entre nous depuis ce soir ou pour la première fois, on s'est embrassé et il a fallu qu'il se fasse tirer dessus pour que tout soit chamboulé à nouveau, pour que je ne cesse de m'inquiétais, que je me retrouve à pleurer en attendant d'avoir des nouvelles des médecins.
Le boss m'avait appelé deux ou trois fois sans que je ne puisse lui donner plus d'indications sur comment James allait, je venais de raccrocher avec lui quand l'un des médecins vint enfin me tenir informé, il m'avait alors énoncé clairement ce qui s'était produit durant l'opération que son cœur avait finie par s'arrêter soudainement, mais qu'il avait réussi à le refaire partir, dans ma tête, je me disais qu'il s'était battu pour me revenir, qu'il cherchait simplement à tenir la promesse qu'il m'a faite, puis ils avaient fini par le ramener en salle de réveil et que je pouvais attendre dans sa chambre qu'il le ramène.

Alors je partis m'y installer non loin de la fenêtre, il y avait une chaise où je décidais de m'y installer en attendant de pouvoir l'avoir auprès de moi, nos coéquipiers étaient passés pour voir s'il était revenu, mais ce n'était toujours pas le cas et il avait été obligé de repartir au bureau afin de faire enfermer cette pourriture qui avait tiré sur Jay, je devrais y être moi aussi, mais je ne pouvais pas me concentrer, car j'étais trop inquiète pour James pour me concentrer sur cette affaire, tout ce que je voulais, c'était le revoir, revoir son sourire à nouveau.

Les infirmières venait de ramener James dans la chambre qui lui a été attribuer, une demi heure après que je m'y soit installer sur l'une des chaises qui se trouvait près de la fenêtre, le temps où j'avais été séparé de lui m'avait parut durer une éternité, des siècles même et lorsque les infirmières eurent fini de l'installer ma premières réactions fut de prendre sa main dans la mienne alors que mon autre main caressait son visage, il semblait si serein ainsi endormis.
Le chirurgien l'ayant opérer vint me voir peu de temps après m'expliquant les dégâts que la balle avait causer à son poumons mais fort heureusement, il avait réussi à cautériser la plaie, il était sortie d'affaire.
Je remerciais alors le médecin d'un sourire lorsque ce dernier s’éclipsa je me mise alors à rapprocher l'une des chaise près de James gardant tout au long de la journée ma main dans la sienne, nos collègues passèrent pour prendre de ses nouvelles et à leurs place si je n'étais pas aussi proche de James j'aurais fait la même chose, mais je l'aimais et même si le bosse avait put constater notre proximité je m'en foutais il m'avait d'ailleurs regarder avec beaucoup d'insistance pour finalement embrasser mon front et me dire avant qu'il ne sorte de la pièce qu'une discutions s'imposait .
Quelques minutes plus tard j'entendis le son léger des draps se déplaçant, je me tournais alors vers lui et je fus heureuse de voirs ses beaux yeux ouvert, m'approchant de lui je me mise à lui sourire.

"Salut toi!!!"

Ma main toujours dans la sienne,je retenais mes larmes de joie, tellement heureusz de le voir éveillé.

Je retenais mes larmes qui menaçait vraiment de s'échapper tellement j'étais heureuse de le voir réveiller, il était tellement faible qu'on m'avait prévenu qu'il pourrait vite se rendormir des suites de l'anesthésie, je tenais toujours sa main dans la mienne avec ce même regard attendris que je lui avait montrer peu de temps avant que tous ne parte en vrille totale, j'avais eu la peur de ma vie, une peur énorme car j'avais vraiment craint de le perdre pour toujours, de ne pas pouvoir aller au bout des choses à ses côtés enfin bref tous sa pour dire que j'avais eu peur de le perdre pour toujours et sa c'était une éventualité que je ne pouvais envisager.

Bien sur que je suis rester là, rien ne m'aurait éloigner de toi.

Et c'était une vérité, pourtant nombreux on été à me dire de rentrer chez moi pour me reposer mais à la place de cela j'avais demander à ce qu'une de mes collègues passe chez moi pour me prendre de quoi me changer, je n'avais pas voulut partir, je voulais être au plus près de lui et être là quand il se réveillerait et sa même le boss l'avait compris et n'avais pas insister.
Je caressait tendrement sa main et je ne pus que sourire lorsqu'il me demanda un bisou magique comme un enfant qui ce serait blesser, drôle de comparaison quand on se dit que James est en réalité l'homme que j'aime profondément.

Biensur, même si ma première réaction serait de te frapper pour m'avoir fait aussi peur, mais je ne veux pas te faire mal.

J'approchais mes lèvres des siennes pour échanger un doux et petit baiser, un moyen aussi pour moi de me rendre compte qu'il était toujours en vie, même si il est allongé dans ce lit d'hôpital.

Sa main dans la mienne, je ne pouvais m'empêcher d'être soulagé, soulagé de voir qu'il était toujours présent qu'il ne m'avait pas abandonner.
J'avais vécue les heures les plus sombres de toute ma vie,craignant de ne plus jamais revoir son sourire, sentir son regard poser sur moi, sa main caressant la mienne avec tendresse mais par dessus tous sentir le goûts de ses lèvres m'embrassant tendrement et lorsque je le vis vivant mais endormis dans son lit, je fus dans un sens heureuse et je le fus deux fois plus lorsqu'il ouvrit les yeux à nouveau.
Il me remercia bien que je ne sache pas vraiment pourquoi, certes j'étais resté là tout le temps mais je ne voyais pas nul autre endroit ou autre à part être à ses côtés, aux côtés de l'homme j'aime plus que tous .

Tu n'as pas à me remercier, Jay. Je resterais toujours à tes côtés à l'avenir.

Il m'avait tellement effrayer que si il n'avait pas déjà assez eu mal je lui aurait bien donner un coups pour s'être interposer en se mettant en se mettant en danger et je le lui avais dit et sa réaction me fit sourire, il n'avait en rien perdu son humour loin de là même.


Je sais, mais ne t'avise pas de recommencer, j'ai eu tellement peur de te perdre, je t'aime James.

Je l'embrassais à nouveau sans qu'il ne me le demande, je savais qu'il faudrait que je lui parle de la discussion que j'avais eu avec le bosse, mais il était bien trop fatigué pour cela, pour le moment.

Je savais pertinement qu'il me dirait cela, tous comme moi je serais prête à tous pour lui, sa ne me surprit pas qu'il veuille en faire tout autant, on dit que l'amour nous rend plus fort et dans notre cas j'espérais que cela soit vrai, car après avoir vécue cette soirée il était hors de question qu'on est pas notre chance, la chance de pouvoir avoir une vie à deux .

A l'avenir tu porteras un gilet même quand on est infiltrés Jay, je ne veux pas te perdre.

Si on vient à aller de nouveau dans la gueule du loup cela va s'en dire, à dire vrai je n'étais pas prête à cela je me connais je vais sans cesse m’inquiéter pour lui, même si je ne le montrerais pas plus que ce que je lui montre déjà, il n'est plus seulement mon coéquipier, il ne l'était déjà pas avant tous sa, on est tous une grande famille et on prend soin les uns des autres, mais il est maintenant et pas tout fait officiellement mon homme, l'homme que j'aime et je comptais bien prendre soin de lui.


Tu es dans la chambre depuis 3 heures environ il est 17 h, les médecins ton opéré presque toute la nuit .

Je tenais toujours sa main avec tendresse, je ne pouvais enlever mon regard du sien tant je l'aimais et je savais que d'autre le savais déjà.

Je sais que c'était une malchance qui n'arrive que très rarement mais j'avais eu tellement peur, je sais que je radote mais c'est un fait réelle hier soir j'ai craint de le perdre, de perdre le seul homme que j'aimerais sincèrement.
Je sais depuis que je me suis engagé dans la police, que c'est un métier à hauts risque encore plus lorsque comme nous, on joue les infiltrés de temps à autres c'est un risque à courir pour protéger les citoyens, mais jusqu'à présent je n'avait eu autant peur de perdre un coéquipier

Je sais, mais je préfère prévenir de tout manière tu ne va pas retourner sur le terrain tout de suite..

Lui expliquer ce qui lui était arrivé était un peu délicat, les médecins m'en avait parler mais j'étais tellement heureuse de le revoir en vie que j'avais presque que retenus le fait qu'il soit tirer d'affaire, alors qu'en faite il avait eu une perforation du poumons et qu'il aurait put en mourir si il n'était pas arrivé à temps aux urgences.


Pour faire simple, ton poumon

xD:

à été perforé par la balle, ils ont réussi à stopper l’hémorragie avant que ce dernier ne cesse de fonctionner.

Je ne pouvais m'empêcher de serrer sa main d'avantages en relatant tous ça, c'est un battant et tous nos collègues n'avait pas arrêter de me le répéter quand ils sont passé cette nuit et ce matin, ont est une grande famille et on s'inquiète tous les uns pour les autres.

Tous le monde va bien, ils sont passé voir comment tu allais ce matin alors que tu dormais comme un bébé, ils ont tous cuisinés ces imbéciles qu'on était venus arrêter et avec ce qu'ils ont sur eux ils sont pas prêt de s'en tirer.

Je lui fis un sourire c'était agréable de le voir reposé même si j'étais certaines qu'il devait souffrir en ce moment.

Rien que d'évoquer tous sa avait fait remonter quelques larmes de tristesse qui perlèrent sur ma joue, j'avais détourner mon regard ne désirant pas qu'il me voit ainsi je n'ai jamais eu pour habitude de montrer mes faiblesses mais repenser à cela m'avait fait plus mal que je ne le penser.

Oui ...

J'étais surprise de l'entendre dire qu'il avait l'impression d'être sur une autre planète ne comprenant pas trop ou il voulait en venir car d'aussi loin que je m'en souvienne l'équipe avait toujours été très souder on était tous comme une deuxième famille les uns pour les autres, bon c'est sur qu'entre James et moi il y avait bien plus que ce genre de lien, je l'aime pour la première fois de ma vie j'ose me dire que j'aime un homme et pas n'importe le quel mais celui qui se tiens en face de moi allonger sur ce lit, bien fatiguer par tous ce qu'il venait de traverser.


Je pense que tu es surtout fatigué, je devrais te laisser te reposer.

Je posais alors mes lèvres sur sa main, c'était ma manière à moi de lui donner un peu d'amour car une infirmière venait d'entrer et je savais pertinemment que tôt ou tard tous ce saurait.