Louise J. Everdeen ∞ Arrivé(e) à Toronto : 09/08/2023 ∞ Messages : 9 ∞ Points : 135
| Sujet: Louise - La vie n'est pas un long fleuve tranquille... Sam 12 Aoû 2023 - 9:15 | |
| LOUISE JAYLINN EVERDEEN « No hope. No love. No glory. No happy ending »
NOM: Everdeeni ▬ PRENOM(S): Louise Jaylinn ▬ SURNOM(S): Lou' ▬ AGE: 28 ans ▬ DATE DE NAISSANCE: 23 juin ▬ LIEU DE NAISSANCE: Toronto ▬ NATIONALITE: Canadienne ▬ CLASSE SOCIALE: Moyenne ▬ ORIENTATION SEXUELLE: Heterosexuellei ▬ STATUT MATRIMONIAL: Célibataire ▬ METIER/ETUDES: Pédiatre ▬ GROUPE: Angry Birds ▬ AVATAR: Emily Vancamp ▬ Qualités: Sûre d'elle dans le milieu médical - Ambitieuse - Accessible - Attentionnée envers les gens qu'elle aime - Au vu de tout ce qu'elle vit et de tout ce qu'elle a vécu, on peut dire qu'elle est courageuse. - Déterminée, quand elle a une idée dans la tête, elle ne l'a pas autre part. - Son métier l'amène à être digne de confiance. - Elle ne fait jamais les choses à moitié. - Quand elle veut quelque chose, elle fait tout pour l'avoir. Que ce soit un garçon ou son diplôme. - Energique - Fidèle en amour - Ouverte d'esprit - Se contrôle mieux que quiconque
▬ Défauts: Pessimiste - Fonce tête baissée sans réfléchir - Influençable par des personnes qui ont un mauvais fond - Perd vite les pédales - Accro à l'alcool, la drogue - Bornée - Carriériste - Jalouse et possessive. - Nerveuse
▬ J'aime, je n'aime pas: Adore le café. Latte de préférence - N'aime pas les oeufs - Fait confiance à n'importe qui les yeux fermés mais cela lui porte bien souvent préjudice. - Rêve, au fond d'elle, d'être chirurgienne pédiatrique. Un peu comme son héros de série. - N'est pas certaine, d'un jour, fonder une famille. - Continue de se droguer et de boire énormément et ce, malgré son travail. Même si elle veille à être complètement clean quand elle prend son service - N'est jamais saoule lors d'une garde - Se demande assez souvent ce qu'est devenu Grégory - Ne déborde pas de vrais amis : ceux qui sont là quoi qu'ils se passent.
▬ Tics et manies: Aime commencer sa journée avec un Café Latte venant du Starbucks. - Baisse la tête quand elle a tort. - Tourne ses pouces quand elle s'ennuie. - A l'habitude de prendre un verre de Rhum en rentrant du boulot et de se piquer une bonne dose.
PRENOM/PSEUDO: Citron ▬ AGE: 32 ans ▬ SEXE: Femme ▬ REGION/PAYS: Belgique ▬ J'AI CONNU LE FORUM GRÂCE A: Facebook ▬ MON AVIS: Hâte de recommencer à rp avec Aymeric ▬ QUELQUE CHOSE A AJOUTER: Ca va faire du bien! - Code:
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[b]EMILY VANCAMP[/b] x Louise J. Everdeen
Dernière édition par Louise J. Everdeen le Sam 12 Aoû 2023 - 14:45, édité 4 fois |
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Louise J. Everdeen ∞ Arrivé(e) à Toronto : 09/08/2023 ∞ Messages : 9 ∞ Points : 135
| Sujet: Re: Louise - La vie n'est pas un long fleuve tranquille... Sam 12 Aoû 2023 - 9:17 | |
| « No hope. No love. No glory. No happy ending »
Part I.
J’étais dans ma chambre, sous ma couette. Mon frère n’allait pas tarder à partir, m’abandonnant. Il était en quelques sortes ma moitié, celui pour qui j’aurai tout fait. Mais voilà, le destin en décidait autrement. Malheureusement pour moi… Je n’avais pas la clé de cette porte, mes parents me l’avaient prise très rapidement ayant peur que quelque chose n’arrive. Noam su donc entrer sans peine. « Je vais devoir y aller maintenant. Je voulais juste venir te dire quelques mots avant. Tu vas me manquer p'tite soeur... Mais je viendrais te voir à chaque fois que je le pourrais. Je t'appellerais tous les jours et je t'enverrais des lettres rien que pour que tu puisses m'écrire en retour, comme tu aimes tant le faire. Et qui sait, tu pourras peut-être venir me voir toi aussi. Je t'aime, ne l'oublie pas. ». Je ne tournais pas la tête. Des mots regrettables pourraient sortir de ma bouche. Je préférais donc faire le vide dans ma tête. Si seulement j’arrivais à ne pas l’écouter… À peine eut – il mis le pied hors de ma chambre que les larmes coulaient à flot sur mes joues. J’avais l’impression de le perdre, qu’il n’allait jamais revenir. Une dizaine de minutes après son départ, mon téléphone portable vibra. J’avais un nouveau message : Noam. « Je pense fort à toi. Je t’aime ! Je ne t’oublierai jamais. ». J’avais tellement envie de l’effacer. Mais je finis par l’enregistrer. En quelques sortes, je l’avais encore prêt de moi.
Part II.
« Louise, une lettre pour toi ! Descends ! ». Une lettre pour moi ? Cela ne pouvait être que de Noam. Je descendis donc les escaliers deux à deux. Une fois dans le salon, je pris la lettre des mains de ma mère. J’ouvris le tiroir de ma commode dans ma chambre et y déposa la lettre de mon frère. Une vingtaine d’autres lettres s’y trouvaient. Je ne les avais jamais ouvertes et je n’y comptais pas. Par contre, je ne savais pas pourquoi je les gardais. J’aurai très bien pu les mettre à la poubelle ou encore les faire brûler… Mais non, je les gardais dans un tiroir bien cachées.
« Dis, hein, dis. On se reprend un verre? ». Je parlais à une de mes copines de soirée. C’était encore un de ces moments où je finissais complètement saoule, ne sachant pas qui je suis. Il n’y avait pas un week – end où je n’étais pas dans cet état – là. Ils se ressemblaient tous. Depuis que mon frère était parti, je me laissais complètement aller. Une mini – jupe, des hauts talons, un décolleté et j’étais partie dans un bar. Je draguais tous les garçons que je voyais. « Ca marche ! », fit ma copine. Il ne me fallut pas longtemps pour découvrir la joie de la drogue. Mais cela, bien entendu, n’est jamais arrivé aux oreilles de Noam. Il m’arrive d’ailleurs d’en prendre encore de temps en temps. Enfin bref, revenons à cette époque. Je profitais complètement de la vie. Je sortis alors de ma poche un peu de coke. « T’en veux ? ». Je la sortis et pris le matériel nécessaire dans mon sac. « Vas – y, commence ! Mais tu m’en laisses, hein ! ». Quelques heures après, un garçon tout à fait bien me ramena chez moi. « Viens ici. ». Je m’approchais donc de lui en titubant. Je ne savais plus qui j’étais. « Et mais t’es plutôt canon en fait ! ». Je riais tout le temps. Il prit mon porte – feuille ainsi que ma carte d’identité et me fit entrer dans sa voiture. « Ca va, tu es bien installée ? ». J’entendis à peine ce qu’il me disait. « Mmmmh. ». Je m’étais endormie comme une masse. Je ne me souvenais de plus rien ensuite. Je sais que je me suis réveillée le lendemain ayant un mal de tête terrible. Je me levais donc difficilement de mon lit. Un mot était posé sur mon bureau. « Je t’ai mise dans ton lit. J’ai fait le moins de bruit possible. Tes parents ne savent donc rien. Prends soin de toi ! ». Je ne savais même pas qui était cette étrange personne. Je ne pouvais donc la remercier. Mais nous en restions là. Et ce fut comme cela toutes les semaines qui suivirent. Ce même garçon me laissait un mot à chaque fois. Ce fit comme cela de mes 15 à 20 ans.
Part III.
« Tu es sûre que tu veux te lancer dans des études de médecine ? ». Mes parents pensaient que j’étais incapable d’étudier. J’avais toujours eu énormément de facilités pendant mes secondaires. J’étais passée avec de très beaux points sans jamais ouvrir mon cours. « Oui, je veux être pédiatre. Les enfants sont tellement touchants ! ». Un long débat alors s’ensuit avec mes parents. « Tu vas devoir beaucoup travailler. Ce ne sont pas des études faciles, loin de là. Nous serons là pour t’aider si tu en as besoin. ». Cette dernière parole, c’est tout ce dont j’avais besoin d’entendre. J’étais très proche de mes parents. Je ne leur racontais pas tous mes déboires mais il m’arrivait de me trouver autour d’une table avec eux et à simplement jouer aux cartes, au scrabble. Ils ne connaissaient que ma partie « calme ». Rien que leur présence m’apaisait beaucoup. Sans eux, je n’étais pas grand-chose ou plutôt moi sans mes moments de calme… Je m’étais donc dirigée vers eux deux, les prenant dans mes bras. « Que je vous aime ! Merci pour tout ce que vous m’avez apporté ! ». Ma mère me regardait alors. Ils avaient évité de me dire que mon frère allait arriver dans quelques heures. « Tu veux aller avec nous le chercher à l’aéroport ? ». Mes parents essayaient toujours de me faire renouer les liens avec mon frère. Ils ne se rendaient pas compte que c’était peine perdue. « Euh non, j’ai des choses à faire. Je ne préfère donc pas. ». J’étais prête à tourner les talons pour monter dans ma chambre. Lorsque ma mère m’interrompit à nouveau. « Tu pourrais au moins être présente pour le souper ? Comme cela, nous serons en famille. ». Je n’en avais vraiment pas envie. Mais je tenais tellement à mes parents que j’allais faire cet effort. « C’est à quelle heure ? Je suis attendue pour 22h. ». Comme tous les week – end, je sortais. Et je n’allais pas faire impasse dessus sous prétexte que mon frère daignait revenir une petite semaine. « Et bien, on dit pour 18h ? ». Je les regardais alors plein d’espoir. « Ca marche ! Si jamais je dois cuisiner un truc, faites – le moi savoir. ». J’avais énormément de respect pour eux que je ne me permettais pas de leur répondre ou quoi que ce soit.
Il était 17h30 quand mon frère avait franchi la porte. Je ne descendis pas les escaliers. À vrai dire, je vérifiais ce qu’il me restait comme drogue. Et ce n’était pas grand-chose. Je contactais donc mon dealeur. « Y a moyen de se voir ce soir ? 23h au même endroit ? ». J’attendis son oui et raccrochais rapidement le téléphone. J’entendais Noam monter les escaliers. Il allait sûrement passer par ma chambre me dire bonjour et me déposer un bisou sur ma joue. Il frappa alors à la porte. Je ne lui répondis pas. La meilleure façon pour moi, c’était de le nier. « Bonjour toi ! ». Il savait que je ne lui parlais pas. Il déposait donc juste un bisou sur ma joue et quitta la pièce. Il venait de faire un long trajet. Je supposais donc qu’il n’avait pas envie de se battre… Le souper se passa. Je n’adressais pas la parole à mon frère, je ne le regardais même pas. 21h30 : Festivités finies, je pouvais sortir de table. Je montais alors les escaliers quatre à quatre afin de me préparer pour la soirée. Je les entendais alors parler sur moi. « Ca va, Louise ? Elle tient le coup ? Qu’est – ce qu’elle devient ? ». Mes parents lui répondirent tout calmement. « Elle nous a appris tout à l’heure qu’elle voulait se lancer dans des études de médecine afin d’être pédiatre. ». Je n’entendis plus le reste de la conversation. J’étais dans ma chambre, musique à fond. J’essayais de choisir mes vêtements. J’optais finalement pour une mini – jupe, des talons très hauts ainsi qu’une blouse assez décolletée. Je sortais de ma chambre, mon sac à main à la main ainsi que 200 dollars en main : 150 pour la coke et 50 pour passer la soirée. J’avais reçu ses sous en vendant quelques vêtements. Je croisais Noam dans le couloir. « Louise! Où est-ce que tu vas? Tu ne vas pas sortir comme ça? Et t'as vu l'heure d'abord?! ». Je lui répondis alors assez méchamment. « Qu'est-ce que tu nous fais là? Hein? T'as perdu le droit de me dicter mes faits et gestes lorsque tu as franchi la porte de cette maison. Tu te rappelles, c'était y a 4 ans, ... Tu es parti, tu m'as abandonné, ce qu'un véritable frère ne ferait jamais. Maintenant, si tu veux bien, je vais y aller. Et par pitié, arrêtes d'essayer d'être quelqu'un que tu n'es pas. » Part IV.
« Je t’interdis de sortir ! Tu vas rester ici point barre ! ». Ça, c’était Grégory. Il venait de me frapper pour je ne sais plus quelle raison. Et ce n’était pas la première fois, loin de là ! Je me trouvais donc à l’hôpital pour deux côtes cassées. Grégory était, bien entendu, à côté de moi vérifiant que je ne le dénonçais pas. « Mademoiselle, vous avez deux côtes cassées. Vous allez devoir rester immobilisée un petit temps. Comment vous – êtes vous fait cela ? ». C’était Byron. C’est là que le début de notre relation commença. Je le regardais alors. J’avais un ou deux bleus dans le dos et quelques aux bras. « Je suis simplement tombée dans les escaliers. Je suis très maladroite ! ». Je regardais alors Grégory. Je voulais savoir si je mentais assez bien. Apparemment, pas assez pour lui. Lorsque Byron sortit de la pièce, Grégory me regarda droit dans les yeux. Nous étions dans un endroit public, hors de question de se faire remarquer ! « Tombée dans les escaliers ? Vraiment ? C’est la seule excuse que tu as réussis à sortir ? ». Je le regardais alors, les larmes montaient dans mes yeux. Notre relation avait bien duré trois ans. « Je suis sûre que tu peux y arriver ! Aller, prends sur toi ! Je serai pas loin, juste derrière la porte. ». Encore une fois, j’étais à l’hôpital : ma rate avait éclaté. Cela faisait quelques temps que Byron s’était douté de ce qui se tramait mais je ne le lui avais jamais dit explicitement. Je ne le pouvais pas. Pour moi, c’était avouer que j’étais faible… « J’espère en avoir la force. ». Byron sortait alors de la pièce. Et c’est Xavier qui entrait. Il était dans son moment de calme et me regardait avec amour. Je l’aimais, j’en étais folle amoureuse. Mais il me faisait plus de mal que de bien. Je devais le faire… « Bonjour ma chérie, ça va aujourd’hui ? ». Je le regardais alors. J’essayais de ne faire passer aucune émotion. « Grégory, je ne veux plus te voir. J’en ai fini avec toi. Tu m’as assez détruite. C’est fini… ». Je le voyais, il avait énormément de mal à se contrôler juste maintenant. « Je vais me soigner, je te le promets mon cœur ! Je tiens à toi, je ne veux pas te perdre. ». Je le regardais toujours dans les yeux. Je pensais aux discours que Byron m’avait fait, j’essayais de me convaincre que je faisais ce qu’il y avait de mieux à faire. « Reviens quand cela ira mieux alors… Maintenant, part ! ». Il ne se fit pas prier. Il m’embrassa sur le front, tourna les talons et parti de l’hôpital. Je n’avais plus jamais eu de ses nouvelles. J’avais eu 24 ans la veille. Byron vint dans ma chambre cinq minutes plus tard. J’essayais de ne pas pleurer. Il s’assit à côté de moi dans le lit. J’étais dans ma dernière année de médecine. Nous nous connaissions donc de mieux en mieux. Une certaine relation s’était installée entre lui et moi mais rien d’ambigu ! « Ca va, tu vas tenir le coup ? ». Je le regardais alors. Je ne voulais pas pleurer ou encore perdre les pédales devant lui. « Oui, ça va aller. Je vais passer au – dessus de tout ça. Et je sais que je peux toujours aller voir ta fiancée. Tu ne dois pas me le répéter. ». Je souris alors quelque peu. Et c’est là que vint une mauvaise nouvelle. « Louise, je dois t’annoncer quelque chose de pas facile du tout… ». Je le regardais alors, attendant qu’il me parle. J’étais paniquée. « Tu as une insuffisance rénale. La dialyse ne devrait pas tarder à se mettre en place. Tu es à un stade avancé… ». Ni une ni deux, j’arrachais tous les câbles que j’avais sur moi. Tout ce que je voulais maintenant, c’était sortir de cet hôpital. « Il faut que j’aille faire un tour, que je prenne l’air. Je ne sais pas mais je ne peux pas rester ici ! ». Byron essaya quelque peu de me retenir. Mais il abandonna très vite, j’avais un caractère bien trempé ! « Promets – moi de venir à ma consultation une fois toutes les semaines. ». Ce que je lui répondu directement. « Il est hors de question que mes parents soient au courant ! ».
Part V.
Après avoir appris ma maladie, j’étais rentrée chez moi tout normalement. Mes parents savaient que j’avais été hospitalisée. « Ca va, ma belle ? ». Ma maman s’inquiétait beaucoup pour moi. « Oui oui, ne t’inquiète pas ! Je vais aller me reposer un peu… ». Je montais alors les escaliers. Mes parents partaient le lendemain pour l’Australie. C’était un voyage qu’ils avaient prévu depuis un peu plus d’un an. C’était leur rêve à tous les deux. Je ne voulais pas le leur gâcher. Ce n’était pas le moment de leur parler de mon insuffisance rénale. J’allais le garder pour moi jusqu’à leur retour. Je me réveillais vers 6h, ils ne partaient qu’à 8h, j’avais donc le temps de prendre le petit déjeuner en leur compagnie. « Bonjour ma grande ! Bien dormi ? Tu n’as pas trop mal ? ». Je lui fis donc un bisou sur la joue ainsi qu’à mon père. « Bonjour maman. Oui, j’ai plutôt bien dormi. Ça faisait du bien surtout ! ». Je n'avais pas parlé de la douleur. J'éludais sa question. J'étais plutôt douée pour ça. Je m’assis donc à ma place. Elle me servit deux crêpes. J’avais le pot de nutella face à moi. « Merci m’man. Alors, les valises sont prêtes ? ». Nous discutions les deux heures avant son départ. « À dans deux semaines ma chérie ! Prends bien soin de toi ! Je t’aime. ». Je ne pleurais pas. Je savais qu’ils allaient revenir… « Faites bon voyage ! Profitez – en bien. Faites plein de photos ! Envoyez – moi un message à votre arrivée. Je vous aime ! ». Je fermais alors la porte derrière moi, ne me rendant pas compte que c’était la dernière fois que je les voyais et que j’entendais leur voix… Je me dirigeais dans ma chambre. J’étais peut – être dans un très mauvais état de santé mais je voulais aller boire, me droguer histoire de me changer les idées. J’envoyais donc un message à mes copines de soirée. Nous allions toutes être au rendez – vous. J’avais une très bonne descende. Je portais une mini robe et des talons.
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Aymeric R. Collins ∞ Arrivé(e) à Toronto : 10/08/2023 ∞ Messages : 10 ∞ Points : 165 ∞ Emploi/Etudes : Médecin en psychologie
| Sujet: Re: Louise - La vie n'est pas un long fleuve tranquille... Sam 12 Aoû 2023 - 11:01 | |
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Louise J. Everdeen ∞ Arrivé(e) à Toronto : 09/08/2023 ∞ Messages : 9 ∞ Points : 135
| Sujet: Re: Louise - La vie n'est pas un long fleuve tranquille... Sam 12 Aoû 2023 - 11:53 | |
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Le MaireAdmin ∞ Arrivé(e) à Toronto : 04/05/2014 ∞ Messages : 152 ∞ Points : 65 ∞ Emploi/Etudes : Maire
| Sujet: Re: Louise - La vie n'est pas un long fleuve tranquille... Dim 13 Aoû 2023 - 7:47 | |
| Re-bienvenue ! Comme j'ai dit, j'ai hâte de vous revoir en action C'est tout bon pour moi je valide Bon retour et bon jeu |
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S. Morgauz S. Armstrong ∞ Arrivé(e) à Toronto : 03/04/2015 ∞ Messages : 292 ∞ Points : 341 ∞ Emploi/Etudes : Avocate en droit des affaires et des sociétés internationales
| Sujet: Re: Louise - La vie n'est pas un long fleuve tranquille... Dim 13 Aoû 2023 - 14:00 | |
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