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| linwood » you are the only audience i need | |
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InvitéInvité | Sujet: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 10:15 | |
| LINWOOD SUMMERFIELD « knoledge is power »
NOM: Summerfield, un nom qui a déjà une certaine réputation et qu'il s'efforce de continuer à faire briller. Un nom qui parle aux services de police et à toute personne travaillant au tribunal tant il n'est pas rare d'y croiser Me Summerfield, même en dehors des horaires. ▬ PRENOM(S): Linwood, la rareté de ce prénom le rend facile à retenir. Il a toujours pensé que ce prénom collait bien avec sa tête. Et les autres le lui ont toujours affirmé. ▬ SURNOM(S): Lin, Linus, Woody ▬ AGE: 40 ans. ▬ DATE DE NAISSANCE: 29 février, un anniversaire qui n'a lieu réellement que tous les quatre ans. Et chaque année, il bénit le ciel de ne pas être né quelques heures plus tôt. En fêtant son anniversaire qu'une fois de temps en temps, il n'a pas tellement l'impression de vieillir. Pour son égo, c'est flatteur. ▬ LIEU DE NAISSANCE: Toronto, Canada. ▬ NATIONALITE: Canadien, avec l'accent qu'il faut et les bases de français appris au Québec lors des vacances d'été. ▬ CLASSE SOCIALE: Très aisée. Il roule sur l'or, sur l'argent et sur les pauvres. Il est habitué au luxe et à la classe à certain niveau et ce, même s'il n'en donne pas toujours l'air avec son look de dépravé. ▬ ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuel, amoureux des femmes, de leur corps, de leur forme. De la tendresse qu'elles dégagent et de la douceur de leur peau. ▬ STATUT MATRIMONIAL: Divorcé, depuis peu. Le mariage vient d'être rompu, brisé, annulé. Adieu les années de bonheur et d'amour fou et bonjour les soirées de débauche, tout seul, devant la télé. ▬ METIER/ETUDES: Avocat spécialisé en droit pénal. Il est de ceux qui enfoncent les criminels et qui, parfois, les aide à s'en sortir. ▬ GROUPE: Monopoly ▬ AVATAR: adrien brody | ▬ Qualités: Professionnel. C'est ce qui se note au premier abord. Le cliché des workoholiques vient de trouver grâce en Linwood. Il en est le plus fidèle représentant, à enchaîner les heures supplémentaires - sans jamais compter les heures, en réalité - et à toujours ramener du travail à la maison. Et même s'il se laisse parfois emporter par sa passion pour son travail, il n'élèvera jamais la voix quand le verdict qui tombe n'est pas celui qu'il espérait. Jamais devant les autres, en tout cas. » Aimant. Véritable prince charmant à la gueule cassée et au physique de gringalet anorexique. Quand il s'entiche de quelqu'un, c'est pour la vie. C'est ce qu'il aime se dire. Forcément, son divorce a laissé son emprunte dans sa foi mais il préfère dire que la seule femme de sa vie, c'est sa fille. Qu'il a trompé sa femme le jour où leur bébé est né parce qu'elle est, dès l'instant où il a vu ce petit nez retroussé, la chose la plus précieuse à ses yeux. » Vif d'esprit. Il capte vite et il capte bien. Quand il veut embarrasser sa fille, il dira qu'il est comme le dernier iPhone à la mode, qu'il a la 4G. C'est ce qui le rend si précieux, dans son travail, c'est ce qui le rend si doué. Beaucoup confonde sa rapide compréhension à une surintelligence. Il n'est pas plus intelligent qu'un autre, juste plus attentif et plus consciencieux dans son travail. Il apprécie, d'ailleurs, que celui-ci soit fait vite et bien. » Amusant. Parce qu'on ne peut pas le qualifier de drôle. Il a l'humour bien lourd des pères de famille, l'humour grinçant des hommes trop souvent blessés par la vie, le sarcasme des faux génies heurtés par un amour brisé. Il pique ses blagues aux autres, des blagues trop connues, trop entendues, mais qu'il adore répéter à chaque repas. Qui le font, toujours, rire. » Dévoué. Ou loyal. Ou fidèle. Ou tous les autres synonymes. Parce que quand il aime, c'est avec l'intégralité de son être, il est incapable de tricherie, de duperie, de duplicité. Il ne peut accepter l'idée de tromper, ou d'être trompé. Il ne supporte pas les trahisons ni les coups bas. Que ce soit dans sa vie personnelle comme professionnelle. Il ne peut pas. Il est dévoué, corps et âme. Il se donne toujours en entier, ou il ne se donne pas. »
▬ Défauts: Il est maniaque. Trop. Il aime quand tout est rangé à sa place. Il aime quand les choses sont triées. Il aime que le rangement fasse sens selon sa logique. Et uniquement la sienne. » Bordélique. Oui, c'est un paradoxe, mais ça reste vrai. Si les pièces à vivre de sa maison et toutes les pièces susceptibles d'être vues par de potentiels invités sont toutes parfaitement ordonnées, c'est très loin d'être le cas pour toutes les pièces dissimulées aux yeux de tous. Son bureau pourrait en être l'exemple typique. Tellement encombré de morceaux de dossiers divers et variés que Mary Poppins et ses tours de magie passeraient la journée entière à essayer de tout trier avant d'abandonner. » Il aime avoir raison. Et quand il affirme quelque chose, il ne lâche pas le morceau. S'il peut admettre avoir tort dans certaines occasions, s'il a raison, il vous le rabâchera pendant des siècles. Il est du genre à aimer souligner les je te l'avais bien dis avec un soupir exaspéré. » Borné. Et si c'est une qualité dans son métier, c'est un sacré défaut dans sa vie personnelle. Il ne lâche pas le morceau. Il en est comme incapable. C'est épuisant, pour les autres. Pour ceux qui le supportent au quotidien. C'est l'une des choses qui a eu raison de son mariage. » Gamin. Et si c'est parfois physiquement attendrissant - un sourire timide par-ci, un regard espiègle par-là et le coeur des femmes cédaient, en général - c'était rapidement éreintant pour quiconque avait à le supporter plus de quelques heures. Véritable enfant coincé dans un corps d'adulte, il est capable des pires bêtises comme des pires mensonges. » Lâche. Il ne supporte pas les confrontations, les disputes et toutes les conséquences qu'elles entraînent. Il fuit le combat, fuit les conversations trop sérieuses, les détourne à l'aide de son humour. Et il agace, encore une fois.
▬ J'aime, je n'aime pas: Sa fille. La pépite de sa vie, la prunelle de ses yeux, sa raison d'être et de tenir. Il sait que leurs rapports ne sont plus tout à fait les mêmes depuis le divorce. Il sait tous les reproches qu'elle peut lui faire et surtout, il sait qu'il n'a pas toujours un père exemplaire. Il n'en reste pas moins un père particulièrement aimant et fière de son bébé, de celle qu'il a vu naître et grandir, de ce bout de femme qui entame une vie de pseudo-adulte. » Que sa fille grandisse. A ses yeux, elle restera à jamais son bébé, ce bout d'humain de quinze centimètres qui tenait sur son avant-bras. Ce petit être chétif qui se blottissait contre lui sinon qu'il la prenait dans ses bras. Il craint le jour où elle va vouloir voler de ses propres ailes et faire sa vie. » Son travail. Sa seconde raison d'être. L'élément le plus stable de toute sa vie et ce dont il est le plus fier, après sa gamine. Dès que les choses vont mal, il se plonge dans un dossier complexe avec pour unique objectif de remporter le procès qui en découlera. Généralement, ce sont dans ces affaires-là qu'il s'en sort le plus brillamment. A croire que se disputer avec son épouse, ou ex-épouse à présent, le rend meilleur. » Perdre un procès et voir un criminel - ou une petite tête de con - s'en sortir. Ça peut paraître logique mais Woody s'investit tellement dans son métier qu'il lui est déjà arrivé d'être malade à la perte d'un procès. A moins que ce ne soit parce qu'un pédophile s'en était tiré. » Traîner partout où il y a un peu de musique. Même s'il n'allume pas souvent la radio dans le seul but de laisser un fond sonore musical retentir, Linwood aime beaucoup les différents tempo que les différents styles de musique peuvent harmoniser. Flâner à leur gré le relaxe, l'apaise toujours beaucoup. Quand il le peut, il partage ces instants avec sa fille. Des moments privilégiés. » Les absurdités qui passent à la télévision. D'une façon plus générale, il n'est pas un grand amateur de télé. S'il en possède une, c'est uniquement parce que son ex-épouse l'avait exigé et qu'il n'avait pas su dire non. S'il avait volontiers laissé sa fille, alors enfant, regarder les dessins animés, il apprécie beaucoup moins les programmes diffusés à l'heure actuelle et qui ne sont pas de l'actualité. » Elle. Il l'apprécie. Un peu. Un peu trop, même. Son nom qui résonne comme un écho qui deviendrait obsession. Il aime passer du temps avec elle. Il aime sa jeunesse, ses courbes et sa façon de tendre les lèvres vers lui. Il aime sa peau délicate et sa façon de se laisser entraîner au lit. Il ne devrait pas. Mais il l'apprécie quand même. Ce n'est pas de l'amour et sa conscience lui dicte d'y mettre un terme. Il n'y arrive pas.
▬ Tics et manies: Ancien gros fumeur, Woody possède toujours un paquet de clopes sur lui. S'il s'amuse parfois à en sortir une par réflexe, il ne l'allume plus et prend toujours sur lui. C'est juste quelque chose qui lui vient naturellement quand il est stressé. Ou contrarié. » Ne laissez jamais un briquet à portée de main s'il est dans les parages. Non seulement il passera le reste de son temps à l'allumer (et à le vider, donc) plutôt qu'à vous écouter, mais en plus, il finira par le glisser dans sa poche sans s'en rendre compte. La grosse majorité de ses briquets ont ainsi été récupérés. » Depuis qu'il est gamin, il collectionne les trombones. Au débout, c'était simplement pour remplir des boîtes d'allumettes et faire du bruit en les secouant. Au final des années, c'est devenu une passion et un passe-temps ; quand il a du temps libre, ou quand il réfléchit sur un dossier, il déplie les trombones et les assemble. Il lui est arrivé de construire des fausses œuvres d'art de cette manière. » Il lit peu, par manque de temps principalement, mais il achète beaucoup d'ouvrages. Tous les sujets y passent même si sa préférence se dirige vers la littérature portugaise et, plus généralement, ibérique. Il lui arrive aussi d'acheter des ouvrages de collection dans le seul but de les posséder dans sa bibliothèque. » Son rire ressemble davantage à taille-crayon qu'à un rire franc. C'est pour cette raison qu'il évite d'éclater de rire en public, la plupart du temps. » C'est un adepte des blagues carambar, au grand désarroi de sa fille. » Depuis son divorce, donc, depuis peu, quand sa fille passe la semaine chez sa mère, Woody a pris l'habitude de s'enfermer dans sa bibliothèque et de laisser son vieux tourne-disque passer de la musique classique. » Il possède un piano. Désaccordé. Ce qui ne l'empêche pas d'y jouer lorsque l'envie lui prend - un peu trop souvent au goût de ses proches, d'ailleurs - et s'il a eu des leçons plus jeune et qu'il est parfaitement capable de savoir quand un instrument est accordé ou non, il continue d'en jouer comme s'il n'était pas dérangé par les notes grinçantes de son piano.
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PRENOM/PSEUDO: manon le cochon qui se nourrit de cornichons // ghost.writer (abrégée gw) ▬ AGE: twenty one pilot ▬ SEXE: boobies (raplapla) ▬ REGION/PAYS: rhônes-alpesauvergne // france ▬ J'AI CONNU LE FORUM GRÂCE A: une petite benedikt (aka pop) qui marchande et qui sait m'amadouer ▬ MON AVIS: Vu de l'extérieur, il a l'air sympa. Après, on m'a promis qu'il était génial et que le staff l'était tout autant... me décevez pas les gars ▬ QUELQUE CHOSE A AJOUTER: Pouët ? - Code:
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[b]ADRIEN BRODY[/b] x Linwood Summerfield
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| | | InvitéInvité | Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 10:15 | |
| « don't tell me because it hurts »
Il gigotait. Un claquement de langue de son père l’empêcha de vouloir retirer de force les mains qui, posés sur ses yeux, lui ôtait la vue. Il se força à rester calme tandis que sa mère posait une main aimante et tendre sur son épaule. Sa bouche, tordue en une moue impatiente, se tordit quand il sentit qu’ils ne marchaient plus. Il avait perdu tous ses repères, ignorait bien dans quelle pièce de la maison ils se tenaient. Tout ce qu’il savait, c’était que son cadeau de Noël se trouvait dans cette pièce et qu’il avait hâte qu’on lui découvre les yeux pour pouvoir l’ouvrir. « On y est ? On y est ? On y est ? Dis, dis, dis, maman, on y est ? Ça y est, je peux ouvrir les yeux, maintenant ? » Il entendit le rire de sa mère, un vague soupir de son père qui lui demandait de patienter encore deux petites secondes. Mais il n’avait aucune envie de patienter deux secondes. Ou même moins. Il voulait voir son cadeau maintenant. Finalement, son père retira sa main et les yeux de Linwood se posèrent aussitôt sur le magnifique piano brillant et un large sourire étira ses lèvres. « C’est un piano ? Un vrai de vrai ? » Il se retourna vers son père qui hocha la tête avant de se tourner vers sa mère qui acquiesça également. « Trop cool ! » Sans même prendre la peine d’embrasser ses parents comme le voulait la coutume, il se précipita sur le banc de l’instrument où il s’installa aussitôt et se mit à jouer la seule chanson qu’il avait appris jusqu’à présent : Au clair de la lune. « C’est celui de mamie, mon chat, alors tu fais bien attention, d’accord ? Mamie te l’offre. » Mais il était déjà bien trop concentré sur ces touches pour l’entendre et il se contenta de lui adresser un signe de la main. C’était son piano. Son instrument. Le seul qui allait le suivre le restant de sa vie. Celui qui allait devenir le témoin de ses déboires et des joies.
Les touches du piano s’enfoncèrent et, aussitôt, un son grinçant retentit dans l’ensemble de la pièce. Désaccordé. Comme son être. La note résonna dans l’air avant de s’éteindre, évaporée par ce doigt retiré. Un long silence s’ensuivit et Linwood se passa une main dans les cheveux, machinalement. Soupira. Et, soudain, la musique retentit. Fausse. Une mélodie ratée, détruite par un instrument mal accordé mais Linwood ne s’arrêtait pas à ces détails. Jamais. Il continuait de jouer, les doigts virevoltant au-dessus de chacune des touches avant d’aller rejoindre celles désirées. Il n’y avait pas de titre à ce morceau. Pas de parole, pas de nom. Ce n’était qu’une mélodie, qui ne ressemblait à rien, qui n’avait l’air de rien. Un air qui lui venait à mesure qu’il jouait, qui ne préexistait que dans son esprit avant de prendre vaguement forme dans le silence qui régnait. Le tempo accéléra. Les notes se firent plus graves. Plus oppressantes. Son propre cœur battait plus fort, se serrait par instant. Il ferma les yeux et, sans s’en apercevoir, son corps se mit à donner plus d’insistance à ses gestes. Son être était emporté par la musique inventée. Plus d’ardeur. Plus de rythme. Jusqu’à ce qu’une petite tête blonde surgisse à ses côtés et, après lui avoir lancé un regard, qu’elle pose ses petites mains, ces ridicules petites quenottes, sur les touches elle aussi. Linwood eut un sourire pour sa fille qui, le nez froncé et les sourcils se joignant presque, prenait un air concentré. Cette petite fille qui ne savait même pas les notes sur lesquelles elle appuyait mais qui avait d’ores et déjà l’air d’une grande artiste inspirée. Sa petite fille. A lui. Il souleva une main, la passa autour des épaules de l’enfant et l’enjoignit à jouer encore davantage. A eux d’eux, ils pourraient conquérir le monde musical. Elle éclata de rire et décida que sa part était terminée. Il ne la retint pas alors qu’elle cherchait à se frayer un chemin pour venir grimper sur ses genoux. Et, finalement, il abandonna, lui aussi, la musique pour venir poser une main sur cette tête blondinette et l’autre dans son dos. Elle était, physique, le portrait de sa mère. Mais dans ses yeux clairs, Linwood avait toujours été capable de déceler ce petit truc en plus qui lui soufflait que sa fille lui ressemblait bien plus que tout le monde ne le pensait. Elle lui rappelait sa propre enfance, par moment. Avec sa détermination enfantine et sa curiosité insatiable. Avec cette envie de découvrir le monde et la peur d’explorer toute seule. Lentement, il se mit à caresser ces cheveux d’or et elle enroula les bras autour de son cou pour un câlin. Il sourit, referma son bras autour de ce petit corps fragile et la tint serré contre lui. Il l’adorait. Trop, peut-être. Et, parfois, il craignait de ne pas l’aimer assez. Ou de ne pas suffisamment le lui montrer, en tout cas. Elle s’éloigna d’elle-même, le regarda dans les yeux avant d’éclater de rire. Elle avait encore ce grain de folie qu’il n’avait plus. Qu’il avait perdu, plus jeune. Au décès de sa grand-mère. A chacune des disputes de ses parents. A l’âge où il lui avait fallu devenir un adulte. « Ne grandis jamais, » souffla-t-il tandis qu’elle frottait sa joue contre sa barbe naissante.
« Vous jouez depuis longtemps ? » Linwood se retourna, surpris d’avoir ainsi été pris dans un moment d’égarement. Son regard se posa sur la silhouette d’une fille à peine sortie de l’adolescence. Qui ne devait pas être bien plus vieille que sa propre fille. Ses joues rosirent et il retira vivement ses mains du clavier. « J’ai appris quand j’étais enfant. » Elle acquiesça, tenant son plateau vide devant elle. Il détourna un peu les yeux, s’aperçut qu’ils étaient seuls dans le bar. « Oh, vous alliez fermer, peut-être ? » Elle haussa les épaules avec un sourire en coin. « Vous jouez bien. C’était très beau. » Il eut un mouvement de recul pendant l’espace d’une seconde avant d’oser un sourire. « Merci. Ça fait… Ça fait bizarre de jouer sur un piano accordé. » Un rire nerveux lui échappa et la jeune fille tiqua, sourcils froncés. Elle était vraiment jeune. « C’est pas censé être accordé, un instrument pour qu’on puisse jouer juste dessus ? » Elle avait encore cette innocence dans sa façon de s’exprimer. Comme sa fille. Cet air adorable aussi. Sans le vouloir, son regard glissa sur le corps de l’adolescente, s’attarda peut-être un peu trop sur cette taille de guêpe qui permettait de mieux dévoiler ses formes de jeune femme. « Hm. Si, si, bien sûr. » Il tenta d’esquisser un sourire et elle rit légèrement. Il ne pouvait pas lui expliquer que le piano qu’il possédait, dans son appartement, n’avait jamais été accordé. Plus depuis que sa mère était venue le rejoindre, alors qu’il s’entraînait sur un nouveau morceau de Bach, pour lui apprendre que c’était fini. Que son père était parti, sûrement pour de bon, avec cette petite traînée de son bureau. Plus depuis que sa famille s’était émiettée. Que c’était sur un piano désaccordé qu’il avait appris à sa fille à jouer. Que c’était sur ce même piano qu’il avait vécu tous les meilleurs moments de sa vie. Et les pires, aussi. « Je devrais peut-être y aller… Si vous, si vous fermez. » Il se frotta la tempe avec son pouce avant de faire mine de vouloir se lever. Mais elle vint s’installer à ses côtés à la place, déposa son plateau sur le dessus du piano. « Je vous offre un dernier verre si vous me jouez un morceau. » Elle avait ce regard tendre, ces lèvres tendues, cette douceur dans ses traits. Il accepta. Et, à mesure qu’il jouait, leurs deux corps s’étaient rapprochés. Jusqu’à ce qu’il passe une main autour de ses épaules, à elle aussi. Et que, épris par le parfum qui émanait d’elle et cette chaleur qu’elle dégageait, il se retrouve à l’embrasser dans le cou.
Dernière édition par Linwood Summerfield le Ven 11 Nov 2016 - 11:34, édité 5 fois |
| | | Talia Griffin ∞ Arrivé(e) à Toronto : 04/05/2014 ∞ Messages : 5888 ∞ Points : 733 ∞ Emploi/Etudes : A venir
| Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 10:40 | |
| Yay! Bene (oui, je viens de décider de la surnommer comme ça xD) m'avait dit que quelqu'un était tenté par son scénario Ravie de te voir débarquer du coup Et ouais, le staff est génial Si t'as besoin de quoi que ce soit, n'hésites pas et c'est super cool de voir un personnage de quarante ans arriver, ça va diversifier et ça nous fait une tranche d'âge supplémentaire Encore bon courage pour ta fiche |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 11:14 | |
| Ah oui ? Elle t'a pas dis qu'elle m'a surtout fait les yeux doux jusqu'à ce que je cède à coup de "Non mais toute façon, tout sera négociable si tu le prends hein !" :mdr: elle est vicieuse, faut faire gaffe :mdr: #lovesurtoiBenediktCompte sur moi pour venir vous harceler si j'ai une question, un doute, ou quoique ce soit :3 J'aime bien les vieux Et merciiii |
| | | Talia Griffin ∞ Arrivé(e) à Toronto : 04/05/2014 ∞ Messages : 5888 ∞ Points : 733 ∞ Emploi/Etudes : A venir
| Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 11:31 | |
| Haha, elle sait être convaincante Ça marche, hésites pas |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 12:09 | |
| Ouais je sais être convaincante parce que j'ai fait le même coup à Analiay pour qu'elle me prenne mon Matt, vous m'aimez trop pour pas prendre mes scenarios 'façon Sinon du coup bienvenue et ta fiche est parfaite, j'adore, j'adhère |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 12:11 | |
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| | | Matt Williamson ∞ Arrivé(e) à Toronto : 18/04/2015 ∞ Messages : 161 ∞ Points : 177 ∞ Emploi/Etudes : Footballeur pro
| Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 13:19 | |
| FÉLICITATIONS, TU ES VALIDÉ(E)!
Pour moi tout est ok et ça convient à Bene donc c'est parfait ^^ Je n'ai plus qu'à te souhaiter un bon jeu parmi nous J'en profite pour te faire part du groupe FB du forum que tu trouveras ici et voila quelques explications sur les nouveautés de la dernière version (concernant par exemple le système de membres du mois qui a sensiblement changé donc je te conseille d'y jeter un oeil ici (Et c'est donc Ana avec l'un de ses multiples comptes xD) Encore bon jeu Bravo tu as franchis l'étape de la fiche Tu es donc officiellement un membre de Niagara Evening. Si c'est pas super ça Il reste cependant encore quelques petites choses importantes à faire avant de pouvoir profiter pleinement du forum. Tout d'abord, il faut que tu ailles recenser quelque chose, à savoir ton métier par ici. Ensuite, tu dois aller faire une demande de logement parce que ton personnage a droit à un toit au-dessus de sa tête: c'est par là. Si tu as besoin d'un lieu particulier qui ne figure pas encore sur le forum, tu peux aller en faire là demande par ici. Tu devras ensuite aller faire tes fiches de liens et de sujets dans cette partie. Il existe aussi une partie pour les réseaux sociaux qui est intégrée au forum et tu peux la trouver par là. Enfin, tu peux aller t'amuser dans le flood et les jeux ainsi qu'rp sur le reste du forum. Pour rappel, une partie "Remember me" est en place. Elle te permettra de jouer un événement de ton passé si tu le désires (un événement de ta fiche ou un lien déjà avancé mais dont tu aimerais jouer le début etc...). Le reste du forum se déroule donc au "présent". Un système de points est en place sur le forum. Les points seront remis à zéro environ tout les mois. Ils permettront de désigner des membres du mois et de mettre en valeur des scénarios pour les vainqueurs tout les mois etc... D'ailleurs, tu gagnes des points en recensant tes votes sur les tops-sites sur le sujet prévu pour ça, sujet que tu trouveras dans la partie des annonces et tu trouveras les top-sites sur la page d'accueil Si tu as la moindre question ou suggestion, n'hésites pas à contacter le staff Amuses toi bien parmi nous
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| | | Agathe L. Saint-Amand ∞ Arrivé(e) à Toronto : 12/08/2014 ∞ Messages : 442 ∞ Points : 162 ∞ Emploi/Etudes : *
| Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 16:49 | |
| Bienvenue sur le forum :DDD Je suis compte de te revoir sur un fofo (c'est Nicolàa de GG ^^) je vais venir te harceler sur ta fiche de lien (aa)
xoxo |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 17:51 | |
| Merciii (pour la validation et tout, et tout) BLAIR - Ouii, Benedikt m'a dit que t'étais de GG ! J'suis contente aussi de te revoir (et je me souviendrai toujours qu'on doit se faire un rp à défaut d'avoir pu en faire un Nico/Aloys (a)) |
| | | Agathe L. Saint-Amand ∞ Arrivé(e) à Toronto : 12/08/2014 ∞ Messages : 442 ∞ Points : 162 ∞ Emploi/Etudes : *
| Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need Ven 11 Nov 2016 - 22:34 | |
| Hahaaaaaaa oui c'est vrai xDD on se rattrapera t'inquiète:DD |
| | | Clara M. FournierMembre de l'année 2014 & 2015 ∞ Arrivé(e) à Toronto : 18/10/2014 ∞ Messages : 675 ∞ Points : 144 ∞ Emploi/Etudes : Guide dans un musée
| | | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: linwood » you are the only audience i need | |
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