« Chéri ? Nous devrions nous dépêchez » ma mère était assise côté passager pensant que mon père conduisait, ma mère utilisait la méthode du petit chien les mains sur son ventre rond, nous étions le 14 juin 1988, il devait être 19 h 00 où dans les environs quand ma mère avait reçu les première contractions, ils étaient en plein dîner avec des amis, quand ma mère perdit les eaux. Mon père était papa pour la première fois et il ne savait décidément pas comment s’y prendre surtout avec la réplique
« Chérie ? Tu t’es fait pipi dessus ? » Avant qu’il ne comprenne ce qui était en train d’arriver.
Et comme pour vengeance, auprès de mon étourdie de père, j’avais longtemps fait attendre avant de faire mon apparition à 7 h 00 le 15 juin 1988. Mais bon ça en valait la peine, mes parents était émerveillé par ma petite bouille à peine née j’étais aduler de tous. Si je prends la grosse tête ce n’est pas mon genre.
Bon à vrai dire les médecins étaient sûrs et certains que j'étais seule dans le ventre de ma mère et donc mes parents avaient donc préparer qu'un seul lit, une seule chambre de fille, tout était prévue pour moi, ou bien ma soeur jumelle, peu importe.
« Voilà Madame la première petite merveille, vous connaissez les sexes ? », je ne me rappelle pas la tête de mon père déjà que celui-ci avait du mal sur le fait qu'il vienne être père une fois, alors deux fois d'un coup.
« Comment ça la première ? » Je ne sais plus vraiment qui est sorti la première, mais mon père en avait déjà fait un sacré malaise avant même que la deuxième est fait apparition sur le carnet de familles, c'est moi la première à être sorti, enfin après que mon père est repris connaissance.
« Eylianna et Callie vous arrêtez de suite vos âneries, ou je vais me fâcher ! »Nos parents n'en pouvaient plus dès nos deux ans, nous ne faisions que nous disputer sans même avoir une raison valable. Cela en devenait insupportable et pourtant nous n'arriêioins pas de nous disputer comme ci c'était une bouffée d'oxygène dont nous avions besoin.... Je savais pertinemment que cela n'était pas bien vu de nos parents, toujours à se faire les premières grasse. Mon père aurait espéré que nous soyons comme lui et son frère jumeau lié comme les cinq doigts de la main et pourtant c'était tout le contraireet je pense que c'est dû au fait de notre différence physique et morale.
"Eylianna ? " ma soeur venait me déranger alors que je travaillais sur ma dissertation pour le lendemain, nous avion beau être dans la même classe, elle arrivait toujours à faire croire aux parents et professeurs que nous faisions nos devoirs ensemble alors que je faisais tout le travail et elle se ramassait tous les mérites. "
QUOI ? TU VOIS PAS QUE JE TRAVAILLE ?" J'avais haussé le ton de ma voix passant qu'elle partirait en claquant la porte, mais tout au contraire elle avait choisi le moment pour m'ennuyer.
" Alors, on a embrassé le petit nouveau ? " Je m'arrête d'écrire en un sursaut comment elle pouvait être au courant et puis qu'est-ce-que ça pouvait bien lui faire ce que je faisais avec qui je le faisais "
Et alors ? En quoi ça te regarde ? " Je me rappellerai de sa phrases pendant longtemps.
" Oh comme ça juste pour me renseigner sur ma soeur adorée." Juste le fait de "adorée" aurait dû me mettre la puce à l'oreille.
On avait pu se faire toutes les grasses du monde, il ne mettait jamais venu à l'esprit qu'elle aurait pu monter un coup pareil, un après-midi alors que je je n'avais pas cours j'étais rentrée à la maison, j'avais l'habitude d'y être seule et de pouvoir profiter. Sauf que cet après-midi là, n'allait pas être comme d'habitude. J'ai entendu du bruit en haut et je suis montée voir et je suis tombée sur mon petit ami et ma soeur en train de ce régaler.... C'était le pire moment de ma vie... Au grand jamais je n'aurais pensée que nous en arrivions là et mes parents non plus.
Je me suis sentie salie et trahie par la personne que je pensais aimer, mais aussi par ma soeur même si elle et moi n'allions pas dans le même sens à chaque choix, jamais je n'aurais pensée en arriver là. J'avais 20, enfin nous avions 20 ans, lors de cette trahison, c'est à ce moment que j'ai annoncé à mes parents que je quittais le domicile familiale, ma mère et mon père avaient été très compréhensif sur mon départ même si celui-ci leur était douloureux.
J'ai très vite trouvé un appartement pas trop loin de mon établissement scolaire et de chez mes parents. J'ai très vite obtenu une bourse grâce à mes résultats exemplaires et ma tenue en cours qui était des plus correctes. Mes voisins ont déménagé alors que cela ne faisait que quelques jours que je venais d'arriver. C'est après deux mois que l'appartement était vide qu'il avait été repris par quelqu'un que je n'avais pas eu la chance de croiser depuis. Je rendais beaucoup visite à ma mère et ne parlais toujours pas à ma soeur ... Mon père était inquiet de notre relation, mais là elle avait été trop loin pour que je la pardonne et cela , maman le comprenait ou essayait de le comprendre.
Je n'avais jamais rencontré mon voisin, jusqu'à ce qu' il y a trois mois et oui j'ai vécu cinq ans et des brouettes à côté sans jamais l'apercevoir. Mais bref, 'étais sous la douche et je devais avoir mal fermé ma porte, car en éteignant l'eau j'ai étendu une voix qui provenait du séjour
" Il y a quelqu'un ? La porte était ouverte ? " je pense ne jamais avoir été aussi vite pour me mettre des habits qui trainaient après m'avoir rapidement séché et je suis sortie en essuyant mes cheveux. Et c'est là que je l'ai rencontré ce jeune homme debout dans mon séjour qui me fixe.
" Euh... oui .. je suis là ? " J'avais répondu cela sans même avoir réfléchi et à vrai dire j'aurai dû.
"Vous allez bien ? " Il a une voix si masculine, mais à la fois rassurante. Je le regarde en lui lançant un sourire
" Oui très bien ! " Je le regarde et lui dit que j'avais dû mal fermer la porte et avec les courants d'air elle avait dû s'ouvrir.
Cet homme était des plus charmant ce jour-là et il est encore plis davantage maintenant. Oui j'en craque pour lui et nous nous voyons un peu plus souvent! Nous avons fait connaissance et j'espère qu'un jour ce sera plus que c'est simple bonjour sur le pallier.