- caractère - ▬ Qualités: Je suis quelqu’un de…merde. Je ne saurais pas vous dire mes qualités, mais je peux vous lister mes défauts ? Ha non, c’est en dessous.
On m’a toujours dit que j’étais quelqu’un de différent, c’est une qualité ? Non ? Même si je vois pas d’où je suis différent.
En tout cas, une chose est sure c’est que je suis douée pour le dessin, du moins je crois, c’est ce qu’on m’a toujours répété. Je suis honnête aussi, mais peut être que ça peut être un défaut selon les situations, et oui… Des fois il faut savoir mentir mais je n’ai jamais su et je déteste ça. Je suis sincère aussi, dans la logique des choses, je dis ce que je pense au bon moment, ou non. J’assume ce que je suis, j’assume le fait d’être gay et croyez-moi là d’où je viens… c’est pas trop une qualité. Je suis quelqu’un de modeste, discret par moment. Je ne sais pas quoi vous dire d’autre, je suis vraiment modeste, je n’aime pas étaler mes qualités comme ça et je sais même pas si j’en ai.
Je suis fidèle et généreux, je vis simplement, un peu me suffit amplement, autant vous le dire je n’aime pas l’argent, je n’ai jamais aimé ça et je ne cours pas après.  Je suis…je sais pas.
▬ Défauts: Donc je disais ?
Je n’ai pas le sens de l’humour du tout, en fait je n’aime pas qu’on se fiche de moi, c’est un truc qui me met vraiment hors de moi. Je suis quelqu’un de désorganisé, je suis toujours à la bourre pour tout et c’est pas par manque d’essayer de l’être. Je suis quelqu’un de fêtard, et fichtre oui c’est un défaut, comment dire qu’il m’arrive de ne pas dormir pendant trois jours juste pour aller on ne sait où ? J’ai pas l’air mais c’est comme ça, je suis jeune je profite de trop. On m’a toujours dit que j’étais trop direct et que je devrais mieux tenir ma langue plutôt que de balancer ce que je pense à tout va. Bah oui, je l’ai dit « au bon moment, ou NON. » Je suis un mauvais musulman, bah oui, je suis gay.
Je parle aussi bien l’anglais que vous le chinois, en fait j’ai un gros problème avec cette langue, alors si vous me comprenez pas… c’est juste que je suis nul et que je sais pas m’exprimer. Mais je vais m’améliorer…
Je n’ai absolument pas confiance en moi, je me sous estime à longueur de temps, je suis nul, que voulez vous. Quand je fais quelque chose je ne peux pas penser que c’est bien, pour moi c’est de la merde. Et le pire c’est que je continue de dessiner parce que j’aime ça mais j’aime pas ce que je fais.



- histoire - Il priait quand il devait prier, le matin, le midi, le soir. Respectait les traditions que lui avait appris sa famille. Il avait demander en celui qu'il croyait de devenir fort et intelligent quand il était enfant. Il avait tout fait dans les règles. Il avait toujours été sage et n'avait jamais pêcher. Il était la fierté de la famille étant enfant, comme ses 5 frères et sœurs. C'était un enfant comme les autres à première vu. Il devait être le parfait, celui dont ses parents se vanterait devant leur collègue de travail, devant la famille qui était grande. Il était tranquillement assis sur le canapé devant la télé tout seul, il avait à peine treize ans quand tout ce qu'il croyait être quelque chose de mal lui arriva. Il était devant une émission qu'il n'avait pas vraiment le droit de regarder. Il était en pleine puberté, et comme il arrive à tous les garçons... Il y a une chose qui se réveille et elle se réveilla à un moment qu'il n'aurait jamais su expliquer. Il y avait deux hommes qui s'embrassaient à l'écran et il était choqué mais dans son caleçon c'est autre chose qui se passa. Il était complètement paniqué qu'il s'était mit à crier. Et faut à pas de chance, c'est directement son père qui s'était ramené. D'abord, il se fit disputer parce qu'il aurait dut être au lit depuis un moment puis après parce qu'il regardait quelque chose qu'il n'avait pas le droit. C'était une des plus grosse fessé qu'il avait eut étant gosse. Il en avait pleurer pendant de longues minutes. C'était un gosse, pourquoi lui en vouloir autant? Il ne comprenait pas. Son père lui avait répété "pourquoi tu es un monstre ? Pourquoi tu m'as fait ça? Tu es malade et je peux pas te soigner, c'est ta faute. Tu n'as pas bien prier..." C'était un gosse et il n'avait pas comprit pourquoi il lui avait dit ça, du moins pas tout de suite. Son père avait alors du jour au lendemain changer son comportement avec lui, il ne le traitait plus de la même manière. Merwan n'était plus le chouchou mais celui qui était mis à l'écart, celui qu'on invitait pas aux réunions de famille, celui qu'on ignorait.

Pourtant, malgré le rejet de son père, sa mère avait continuer de le traiter comme les autres, sans le montrer au paternel. Elle l'encourageait, l'aidait et lui disait que malgré ce qu'il était elle l'aimait. Elle ne l'abandonna jamais. Même ses frères et sœurs ne lui parlaient plus. Il avait alors une grande relation avec sa mère, c'était la personne la plus importante de sa vie, c'est elle qui lui avait appris à vivre avec ce qu'il était, à vivre en étant homosexuel. Elle lui avait expliquer que malgré ça, il pouvait être un musulman respectable, mais pas dans son pays. Quand il fut adolescent, au lieu de se retrouver dans un grand lycée, son père lui avait fait intégré une école publique passable où on apprenait rien de bon. Le garçon était dégoutté des études depuis que son père l'avait désavoué, il avait toujours fait tout pour l'impressionner quand il était gosse et ça n'avait pas suffit. Il ne voyait plus l'intérêt de se concentrer sur quelque chose qui ne servait plus à rien selon lui. Puis il avait toujours aimé dessiner, alors il s'y plongea beaucoup plus qu'avant, passant du passe temps à vrai passion. Au lycée, il passait sa vie seule quand il ne se faisait pas tabasser ou harceler à cause de son homosexualité qui ne cachait plus. Il n'avait plus rien à perdre après tout. Il l'assumait maintenant, il savait qu'il n'aura plus la reconnaissance de son père.

Il avait beau assumer et avoir le soutient de sa mère, il savait très bien qu'il risquait sa vie tous les jours en sortant de chez lui et même en rentrant, son père s'était mis en tête de le soigner, de façon définitive. Il s'y risqua jusque la fin du lycée mais ça devait bien arrivé un jour. Il rentrait du lycée, son sac sur l'épaule et la clope au bec quand un groupe de mec pas tranquille le coinça dans un cul de sac. Il avait essayer de se défendre mais son excellence au sport était mauvaise. Ces derniers étaient carrément venu au couteau et il rentra alors rampant presque, la main sur le ventre, en sang. Sa mère l'avait directement amener à l'hôpital. Il avait alors une cicatrice sur le bas ventre qu'il aura toujours pour lui rappeler quel monde de pute où il vivait. Sa mère ne supportant pas savoir son fils en danger avait acheter un billet d'avion en cachette et le lui avait donné "Merwan, tu ne peux pas rester ici, c'est trop dangereux pour les gens comme toi, je ne peux plus vivre en pensant qu'on peut te tuer à chaque secondes, je veux que tu sois heureux. Va là bas, il y a une école d'art où je suis sûre que tu excelleras. Je veux que tu sois heureux. Et je veux que tu sois libre, je t'aime." Il avait pas put refuser, il se rendait bien compte de la réalité et il ne voulait pas faire de mal à celle qui avait réussi à rendre sa vie moins difficile. C'est alors qu'il partit au milieu de la nuit, avait embrassé sa mère et enlacer sa mère pour la dernière fois. Il quitta alors la Turquie, passeport et demande de nationalité dans le sac et arriva à Toronto un lundi matin. Il eut du mal à avoir ses papiers au début, mais quand il expliqua sa situation, il put avoir la nationalité. Il reussit à se trouver une chambre de bonne et avait chercher un travail pour pouvoir financer correctement ses études, sa mère n'ayant pas put lui fournir beaucoup d'argent. Il avait cependant beaucoup de lacune en anglais dut au niveau médiocre de ses études, mais il travaille comme un fou pour pouvoir l'apprendre correctement.

{busy}- type de relation - Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat.

{free!}- type de relation - Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat.

{reserved}- type de relation - Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat.

Livia Rhodes

Après avoir héberger Merwan, Livia lui a proposé d'être en colocation, ils ont ainsi trouver un tout petit appartement correspondant à leurs moyens.

Alexander J. Stomes

Alexander et Merwan fréquente l'université d'Art de Toronto, Alexander fait de la musique, ils se sont rencontré par hasard, Merwan cherchait une salle dans l'établissement, ce dernier l'a accompagné et il se sont rapproché, ils sont alors potes.  Ils mangent des fois ensemble mais Merwan préfère ne pas lui coller au basque, histoire de pas passer pour le désespéré de la vie.

Prénom Nom

Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat. Nec huic publico, ut opinantur, malo turba tantum et imprudens uulgus ingemuit; clarorum quoque uirorum hic affectus querellas euocauit. Inde illa maximi medicorum exclamatio est: "uitam breuem esse, longam artem". Inde Aristotelis cum rerum natura exigentis minime conueniens sapienti uiro lis: "aetatis illam animalibus tantum indulsisse, ut quina aut dena saecula educerent, homini in tam multa ac magna genito tanto citeriorem terminum stare." Non exiguum temporis habemus, sed multum perdidimus. Satis longa uita et in maximarum rerum consummationem large data est, si tota bene collocaretur; sed ubi per luxum ac neglegentiam diffluit, ubi nulli bonae rei impenditur, ultima demum necessitate cogente, quam ire non intelleximus transisse sentimus. Ita est: non accipimus breuem uitam sed fecimus, nec inopes eius sed prodigi sumus. Sicut amplae et regiae opes, ubi ad malum dominum peruenerunt, momento dissipantur, at quamuis modicae, si bono custodi traditae sunt, usu crescunt: ita aetas nostra bene disponenti multum patet. Quid de rerum natura querimur? Illa se benigne gessit: uita, si uti scias, longa est.

Prénom Nom

Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat. Nec huic publico, ut opinantur, malo turba tantum et imprudens uulgus ingemuit; clarorum quoque uirorum hic affectus querellas euocauit. Inde illa maximi medicorum exclamatio est: "uitam breuem esse, longam artem". Inde Aristotelis cum rerum natura exigentis minime conueniens sapienti uiro lis: "aetatis illam animalibus tantum indulsisse, ut quina aut dena saecula educerent, homini in tam multa ac magna genito tanto citeriorem terminum stare." Non exiguum temporis habemus, sed multum perdidimus. Satis longa uita et in maximarum rerum consummationem large data est, si tota bene collocaretur; sed ubi per luxum ac neglegentiam diffluit, ubi nulli bonae rei impenditur, ultima demum necessitate cogente, quam ire non intelleximus transisse sentimus. Ita est: non accipimus breuem uitam sed fecimus, nec inopes eius sed prodigi sumus. Sicut amplae et regiae opes, ubi ad malum dominum peruenerunt, momento dissipantur, at quamuis modicae, si bono custodi traditae sunt, usu crescunt: ita aetas nostra bene disponenti multum patet. Quid de rerum natura querimur? Illa se benigne gessit: uita, si uti scias, longa est.