NOM: Hiwatari-Samuels ▬ PRENOM(S): Subaru Rory ▬ SURNOM(S): Su' - Rory ▬ AGE: 29 ans ▬ DATE DE NAISSANCE: 13/06/1988 ▬ LIEU DE NAISSANCE: Kyoto ▬ NATIONALITE: Japonaise/Québécoise ▬ CLASSE SOCIALE: Élevée ▬ ORIENTATION SEXUELLE: Bisexuelle ▬ STATUT MATRIMONIAL: Fiancée, c'est compliquée ▬ METIER/ETUDES: Titulaire en chirurgie obstétrique et néonatale ▬ GROUPE: Monopoly ▬ AVATAR: Jamie Chung

▬ Qualités: Sûr d'elle - Efficace - Intelligente - Ponctuelle - Enigmatique - Déjantée par moment ▬ Défauts: Perfectionniste - Impose ses volontés - Jalouse - Méfiante ▬ J'aime, je n'aime pas: Elle adore faire de l'équitation - Elle déteste la jalousie même si cette dernière fait partie de ses défauts, elle fait en sorte que ce ne soit pas obsessionnelle - Elle aime les chaussures, toute sorte de chaussure, elle a une pièce rien que pour cela - Elle déteste les chats, elle les trouve bizarre avec leurs yeux, ils ne font que dormir et faire leur toilette. Elle les trouve flippant aussi - Elle aime les enfants, d'où sa spécialité en tant que chirurgien pédiatrique, elle espère en voir au moins deux plus tard ▬ Tics et manies: Elle a une phrase qu'elle dit toujours quand elle est au bloc pour motiver les troupes '' Soyons combatifs et sortons victorieux! ''

PRENOM/PSEUDO: Detonah' ▬ AGE: J'ai oublié ▬ SEXE: I'm a girl ▬ REGION/PAYS: France, Lorraine ▬ J'AI CONNU LE FORUM GRÂCE A: Je crois que je suis admin (aa) ▬ MON AVIS: looooooooove ce forum! ▬ QUELQUE CHOSE A AJOUTER:

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[b]JAMIE CHUNG[/b] x Subaru Hiwatari-Samuels

Il faut savoir que chaque être humain vivant sur cette Terre à son histoire qui lui est propre. Des similitudes peuvent exister, certes, mais rien de plus que de simple coïncidence. J'avais toujours trouvé mon histoire assez spéciale. En fait, je me suis toujours considérée comme quelqu'un d'important sur cette planète, quelqu'un dont personne ne pourrait se passer, quelqu'un qui marquera les esprits dans un futur proche. Égocentrique, n'est-ce pas? J'avais toujours trouvé ce soit disant défaut comme une qualité...

Charles Samuels, un des plus brillants et talentueux neurochirurgien au monde ainsi que sa femme Penelopp Samuels ne pouvaient avoir d'enfant. Cela faisait déjà cinq années que le couple était marié. Ils tentèrent par tous les moyens possibles de l'époque de pouvoir enfin avoir l'enfant tant désiré... Mais malheureusement, sans grand succès. Charles cachait à sa femme une liaison qui durait déjà depuis un an avec un banquier de la ville de Toronto, Vincent Hiwatari. Une tempête torrentielle vint s’abattre sur le couple lorsque Penelopp découvrit les infidélités de son mari avec un autre homme, elle demanda alors le divorce. Bien entendu, Charles s'était armé des meilleurs avocats et il mit sa femme hors d'état de nuire et sans un sous. Il resta avec son amant puis après quelques mois, son désir d'avoir un enfant était toujours présent. Il ne voulait pas adopter, il voulait que cet enfant soit la chair de sa chair. Il prit alors la décision de se rendre au Japon après en avoir parlé à Vincent. Il avait décidé de faire appel à une mère porteuse. Il en trouva une avec ses critères. Ils discutèrent de leur engagement, Charles avait décidé de lui verser une certaine somme tous les mois jusqu'au dix-huit ans de l'enfant. La jeune femme se fit inséminer, elle porta l'enfant pendant sept mois et vingt-neuf jours. Elle était suivie de près par une femme engagée par l'homme pendant que lui se trouvait à Toronto. Il se rendit à nouveau au Japon accompagné de son amant quelques jours avant la naissance du bébé. Puis après quelques temps, celui-ci vit le jour. C'était une petite fille. Elle était magnifique. Charles ne put contenir son émotion, lui qui avait tant prié pour enfin devenir père. Il remplit les derniers papiers qu'il y avait encore à remplir et trois mois plus tard, les deux hommes ramenèrent leur fille à Toronto. Ils l'appelèrent Subaru Hiwatari-Samuels...

J'avais donc grandi au Canada, dans la grande et belle ville de Toronto au côté de mes deux papas, l'un étant mon père biologique et l'autre mon père adoptif. Je n'avais jamais ressenti le besoin d'avoir une femme, en tant que mère, dans ma vie. Mes deux papas m'avaient très bien élevé, ils étaient au possible présents en vu de leur métier et avaient toujours pris soin de moi. J'avais toujours eu ce que je désirai et plus encore. Mon enfance fut assez mouvementée. Je n'avais jamais été une petite fille très calme et sage à tout épreuve. Non! Au contraire, les bêtises, ça me connaissait bien, même très bien. Je ne restais jamais en place, j'avais toujours la bougeotte mais malgré cela, j'avais toujours le sourire, j'étais tout le temps joyeuse et je respirais le bonheur. Comment pouvait-on résister à une petite fille aussi mignonne, toujours le sourire aux lèvres?? Mais ne vous y trompez pas. Lorsque j'étais mécontente, je le montrais et le criais haut et fort. J'avais du caractère mais j'étais surtout du genre adorable.

En tout cas, jusqu'à intégrer le lycée. Je n'étais pas la fille populaire que tout le monde aimait et adulait, ni la fille la plus jolie que tous les garçons voulaient avoir comme copine.. Je n'étais que la petite intello de service. Celle qui portait des lunettes d'intello, qui avait des couettes en guise de coiffure et qui portait un appareil dentaire affreux.. Bref, je perdis très vite le sourire après les moqueries des autres élèves. J'étais dans un lycée privé, avec la crème de la crème, il n'y avait que des enfants de gens riches, de ministres, de médecins de renom.. Nous étions tous dans le même monde sauf que je ne cadrai pas avec eux de par mon apparence physique, je ressemblais à rien, j'étais personne et j'étais bien malheureuse. Je me mêlais aux autres parias, je faisais partie des invisibles de mon lycée. Je me sentais très mal dans ma peau, j'en pleurais parfois, j'avais besoin d'un nouveau départ et de m'aimer et surtout d'imposer mon style et ma personnalité. Fini la pauvre petite au fond de la cour, fini les pleures dans ma chambre, fini d'être exclue des fêtes branchées.. J'avais décidé de prendre un nouveau départ à l'université.

J'avais passé tout l'été à modeler mon look, ma silhouette. Mes deux pères m'avaient soutenu et m'avait épaulé. J'étais métamorphosée, méconnaissable. Comme dit dans le film Jawbreaker '' La vilaine chenille est devenue papillon''.. Mon entrée à Harvard était tellement différente, j'avais réussi à me faire des amis, j'étais plus ouverte, je m'habituais très vite à mon nouvel environnement même si je restais studieuse, impliquée dans mes études de médecine.